liseré hypo-intense dû à des calcifications ou d'anciens saignements dans la capsule. A l'imagerie T2-pondérée, le kyste est hyperintense en son centre (3). Parfois le kyste présente une augmentation de signal atypique à l'imagerie T1-pondérée du fait d'un contenu riche en protéines ou de la présence de sang. tumeurs des tissus mous, tels les schwannomes au départ de la racine nerveuse. La localisation postérieure de la lé- sion dans le canal spinal, en relation proche avec une arti- culation facettaire dégénérative au niveau lombaire bas, ainsi que l'intensité des signaux spécifiques à l'IRM, livrent la clé du diagnostic. l'excision du kyste accompagnée d'une laminectomie constitue le traitement privilégié. Une guérison spontanée ne survient que dans environ 10% des cas. L'aspiration du kyste entraîne souvent une rechute (1, 4). tuelle de syndrome radiculaire lombosacré. La clé du dia- gnostic correct est la localisation postérieure de la lésion dans le canal spinal, en proche relation avec l'articulation facettaire dégénérative. Le CT-scan permet une cartogra- phie très précise des anomalies dégénératives des articu- lations facettaires. L'IRM est la technique de prédilection pour poser le diagnostic final. Cette technique permet la distinction correcte entre une hernie discale et des tu- meurs des tissus mous de la racine nerveuse, comme les schwannomes. 1. de Beukelaar JWK, dallenga a, de Jong g, ruizeveld de Winter KJa, Bakker slm. de syndroom. ned tijdschr geneesk 2010;154:a1673. n b E f corticostéroïdes et à un autre traitement immunosuppresseur, en présence d'anticorps anti-aDN natif et d'un déficit en C3 et/ou Le bélimumab est un anticorps monoclonal totalement humanisé qui inhibe le facteur de stimulation des lymphocytes B. Les preuves en faveur du traitement par ce médicament proviennent en premier lieu de deux études cliniques, les études BLISS-76 et BLISS-52 (1, 2). Ces deux études ont comparé 1 et 10mg/kg de bélimumab et un placebo, ajoutés au traitement standard chez un total de 1.684 patients. Le traitement par bélimumab a globalement amélioré l'activité de la maladie au niveau des symptômes musculo- squelettiques et muco-cutanés les plus fréquents. On a noté une aggravation des problèmes hématologiques, immunologiques et rénaux chez un nombre significativement moins élevé de patients traités par bélimumab par rapport aux patients du groupe placebo. Des données récentes portant sur un suivi de quatre ans suggèrent que le bélimumab peut être administré à plus long terme, avec un profil de sécurité acceptable (3). |