tone 500 mg / comprimé pelliculé. l'arthrose - des affections périarticulaires telles que: bursite, tendinite, synovite et ténosynovite, périarthrite scapulo-humérale - des entorses et des élongations ligamenteuses - des contusions d'origine sportive. pratique d'un sport, une dose initiale de 1 g peut être prise immédiatement, suivie par la dose recommandée de 1 g au coucher. En présence de symptômes sévères, une dose matinale allant jusqu'à 1 g peut être prise en plus de la dose journalière de 1 g au coucher. La durée de cet accroissement de posologie sera déterminée par le médecin traitant en fonction de la gravité des symptômes; toutefois, elle devrait être la plus brève possible et ne pas dépasser 15 jours sans surveillance médicale appropriée. Patients âgés: Les taux sanguins étant plus élevés chez les malades âgés, il est conseillé de débuter avec un comprimé pelliculé GAMBARAN 500 mg par jour, qui peut dans beaucoup de cas apporter un soulagement satisfaisant; éviter de dépasser 1 g par jour. Enfants de moins de 14 ans: Il n'y a pas de posologie établie actuellement pour les enfants de moins de 14 ans. Posologie en cas d'insuffisance rénale: Si la clearance de la créatinine est inférieure à 30 ml/minute, il est recommandé de surveiller cette clearance de près et d'ajuster la dose en conséquence. Si elle est supérieure à 30 ml/minute, il n'y a pas lieu de faire d'ajustement; il peut cependant s'avérer utile de débuter par la posologie la plus faible possible (500 mg) et de l'augmenter progressivement en fonction de la réponse. Une surveillance plus attentive est recommandée chez les malades âgés. Posologie en cas d'insuffisance hépatique: Il y a lieu de considérer que le métabolisme de la nabumétone dépend de la fonction hépatique; il peut donc être réduit chez les insuffisants hépatiques. On s'abstiendra de prescrire le GAMBARAN en cas d'insuffisance hépatique sévère, en cas de cirrhose, par exemple. Mode d'emploi: Les comprimés pelliculés GAMBARAN sont à avaler entiers, sans les croquer, en s'aidant d'un peu d'eau. Le GAMBARAN peut être pris indifféremment avec de la nourriture ou en dehors des repas. On retiendra que les effets indésirables peuvent être minimisés par l'utilisation de la plus petite dose efficace possible pendant la plus courte période nécessaire au contrôle des symptômes. ayant des symptômes d'asthme, de rhinite ou d'urticaire après avoir pris de l'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens. Des réactions anaphylactiques sévères, rarement fatales, ont été rapportées chez ce type de patients après avoir pris des anti-inflammatoires non stéroïdiens; pendant la phase évolutive d'un ulcère gastroduodénal; en cas d'insuffisance hépatique sévère, par exemple en cas de cirrhose; en cas d'insuffisance cardiaque sévère; en cas d'hémorragie active cérébrovasculaire ou autre; à des femmes enceintes au cours du troisième trimestre de leur grossesse ni à des femmes qui allaitent. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Nabumétone: en comparaison avec d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, la nabumétone montre une fréquence plus faible de perforation, d'ulcère et de saignement au niveau gastro-intestinal. Nabumétone: une étude clinique, 1g était toléré par 95% et 2 g par 80% de ce type de patients. Nabumétone: informations spécifiques La nabumétone est mieux tolérée que la plu- part des autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, surtout parce qu'il y a moins d'effets sur le système gastro-intestinal. Lors d'une réévaluation de données issues d'études cliniques réalisées avec la nabumétone avant ou après l'enregistrement, les fréquences moyennes cumulatives de perforations gastro-intestinales, d'ulcères ou d'hémorragies, chez des patients traités pendant une durée de 3 à 6 mois, pendant 1 an ou 2 ans étaient respectivement égales à 0.3%, 0.5% et 0.8%; bien que ces chiffres soient inférieurs à ceux associés à d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, le médecin doit être conscient que ces effets indésirables peuvent se manifester même en absence d'antécédents de maladie gastro-intestinale. Effets indésirables Les effets indésirables sont listés ci-dessous par système d'organe et fréquence. Les définitions suivantes s'appliquent aux termes utilisés pour les fréquences ci-dessous: Très fréquent ( 1/10) - Fréquent ( 1/100,< 1/10) - Peu fréquent ( 1/1000, < 1/100) - Rare ( 1/10000 < 1/1000) - Très rare (< 1/10000). Les effets très fréquents, fréquents et peu fréquents ont généralement été identifiés à partir de données d'études cliniques. Les effets rares et très rares ont en général été identifiés par rapports spontanés. stomatite; Système gastro-intestinal: les effets indésirables gastro-intestinaux sont les plus fréquents. Un ulcère gastro-duodénal, une perforation ou un saignement au niveau gastro- intestinal, parfois fatale, en particulier chez les personnes âgées, peuvent se manifester. Nausées, vomissements, flatulence, constipation, dyspepsies, douleur abdominale, méléna, hématémèse, stomatite ulcérative, exacerbation de colite et maladie de Crohn ont été rapportés après administration. La gastrite a été observée moins fréquemment. sibilité, urticaire, transpiration; Très rare: réactions bulleuses comme la nécrolyse épidermique toxique, le syndrome Stevens Johnson, l'érythème multiforme, oedème angioneurotique, la pseudoporphyrie, l'alopécie cardiaque ont été rapportés lors de traitements par des anti-inflammatoires non stéroïdiens. L'ulcération gastro-intestinale, la perforation et l'hémorragie gastro-intestinale peuvent être fatales, en particulier chez les patients âgés. Des essais cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (en particulier à hautes doses et lors de traitements à long terme) peut être associée à une petite augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (p.e.: infarctus du myocarde ou attaque cérébrale). |