background image
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi 50 mg, solution injectable en stylo prérempli. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5 ml contient 50 mg de golimumab*.* Anticorps monoclonal humain de
type IgG1 produit sur une lignée cellulaire d'hybridome de souris par la technique de l'ADN recombinant. Excipient à effet notoire : Chaque stylo prérempli contient 20,5 mg de sorbitol par dose de 50 mg. Pour la liste complète des excipients,
voir rubrique 6.1. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Solution injectable en stylo prérempli (injection), SmartJect. La solution est limpide à légèrement opalescente, incolore à légèrement jaune. 4. DONNEES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques
Polyarthrite rhumatoïde (PR) Simponi, en association avec le méthotrexate (MTX), est indiqué dans : le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, modérée à sévère chez les adultes, lorsque la réponse aux traitements de fond
antirhumatismaux (DMARD), y compris le MTX, a été inadéquate. le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, sévère et évolutive chez les adultes non traités auparavant par le MTX. Il a été démontré que Simponi, en association avec
le MTX, ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire, mesurée par radiographie et améliore la fonction physique. Rhumatisme psoriasique (RP) Simponi, seul ou en association avec le MTX, est indiqué dans le traitement du
rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez les adultes, lorsque la réponse à un précédent traitement de fond antirhumatismal (DMARD) a été inadéquate. Il a été démontré que Simponi ralentit la vitesse de progression de la destruction
articulaire périphérique, mesurée par radiographie chez les patients présentant des formes polyarticulaires symétriques de la maladie (voir rubrique 5.1) et améliore la fonction physique. Spondylarthrite ankylosante (SA) Simponi est indiqué
dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante active sévère chez les adultes qui n'ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel. 4.2 Posologie et mode d'administration Le traitement par Simponi doit être initié et
supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, du rhumatisme psoriasique ou de la spondylarthrite ankylosante. Les patients traités par Simponi devront recevoir la carte
de signalement Patient. Posologie Polyarthrite rhumatoïde Simponi 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Simponi doit être administré de manière concomitante avec le MTX. Rhumatisme psoriasique Simponi 50 mg
administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Spondylarthrite ankylosante Simponi 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement
obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 3 à 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré dans ce délai. Chez les patients pesant plus
de 100 kg qui n'obtiennent pas de réponse clinique satisfaisante après 3 ou 4 doses, une augmentation de la dose de golimumab à 100 mg une fois par mois peut être envisagée, en tenant compte du risque accru de certains effets indésirables
graves survenant avec une dose de 100 mg par rapport à 50 mg (voir rubrique 4.8). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré après 3 à 4 doses
supplémentaires de 100 mg. En cas d'oubli d'une prise de Simponi. Si un patient oublie une injection de Simponi le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas
injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et
poursuivre le traitement selon le calendrier mensuel initial. si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier mensuel devra être établi à partir de la date de cette
injection. Sujets âgés ( 65 ans). Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. Insuffisance rénale et hépatique. Simponi n'a pas été étudié chez cette population de patients. Aucune recommandation de doses ne
peut être faite. Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de Simponi chez les patients âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. Mode d'administration Voie sous cutanée. Après avoir été
formés de manière appropriée à la technique d'injection sous cutanée, les patients peuvent s'injecter eux mêmes Simponi si leur médecin considère que cela est approprié, avec un suivi médical si nécessaire. Les patients doivent recevoir
comme instruction d'injecter la quantité totale de Simponi selon les instructions complètes d'administration fournies dans la notice. Pour les instructions d'administration, voir la rubrique 6.6. 4.3 Contre-indications Hypersensibilité à la substance
active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1. Tuberculose (TB) active ou autres infections sévères, telles que sepsis, et infections opportunistes (voir rubrique 4.4). Insuffisance cardiaque modérée ou sévère (de classe III/IV dans
la classification NYHA) (voir rubrique 4.4). 4.8 Effets indésirables Résumé du profil de tolérance. Lors des études contrôlées de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA, l'effet indésirable (EI) le plus fréquemment rapporté au cours
des 16 semaines était l'infection des voies respiratoires hautes, observée chez 7,2 % des patients traités par golimumab contre 5,8 % des patients témoins. Les EIs les plus graves, rapportés sous Simponi étaient des infections graves (y compris
sepsis, pneumonie, TB, infections fongiques invasives et infections opportunistes), troubles démyélinisants, lymphome, réactivation du VHB, ICC, processus auto-immuns (syndrome lupique « type lupus ») et réactions hématologiques (voir
rubrique 4.4). Liste sous forme de tableau des effets indésirables Les EI observés lors d'essais cliniques et rapportés depuis la commercialisation dans le monde sont listés dans le tableau 1. Au sein des systèmes classe-organe, les effets
indésirables sont listés par fréquence en utilisant la convention suivante : Très fréquent ( 1/10) ; fréquent ( 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent ( 1/1 000 à < 1/100) ; Rare ( 1/10 000 à < 1/1 000) ; Très rare (< 1/10 000); fréquence indéterminée (ne peut
être estimée sur la base des données disponibles). Tableau 1 Liste sous forme de tableau des EI Infections et infestations. Très fréquent: Infection des voies respiratoires hautes (nasopharyngite, pharyngite, laryngite et rhinite). Fréquent :
Infections bactériennes (telle que cellulite), infections virales (telles que grippe et herpès), bronchite, sinusite, infections fongiques superficielles. Peu fréquent : Choc septique, sepsis, tuberculose, infection des voies respiratoires basses (telle
que pneumonie), infections opportunistes (telles qu'infections fongiques invasives [histoplasmose, coccidioïdomycoses, pneumocystose], infection bactérienne, mycobactérienne atypique et protozoaire), pyélonéphrite, abcès, arthrite
bactérienne, bursite infectieuse. Rare : Réactivation de l'hépatite B. Tumeurs bénignes, malignes et non précisées. Peu fréquent : Tumeurs (telles que cancer de la peau, carcinome à cellules squameuses et naevus malin). Rare : Lymphome,
leucémie. Affections hématologiques et du système lymphatique. Fréquent : Anémie. Peu fréquent : Leucopénie, thrombocytopénie. Rare : Pancytopénie. Inconnu: Anémie aplasique*. Affections du système immunitaire. Fréquent : Réactions
allergiques (bronchospasme, hypersensibilité, urticaire), auto-anticorps positif. Rare : Réactions graves d'hypersensibilité systémique (y compris réaction anaphylactique), vascularite (systémique), sarcoïdose. Affections endocriniennes. Peu
fréquent : Trouble thyroïdien (tels que hypothyroïdie, hyperthyroïdie et goitre). Affections du métabolisme et de la nutrition. Peu fréquent : Augmentation du taux de glucose dans le sang, augmentation des lipides. Affections psychiatriques.
Fréquent : Dépression, insomnie. Affections du système nerveux. Fréquent : Vertiges, paresthésies, céphalées. Peu fréquent : Troubles démyélinisants (central et périphérique), troubles de l'équilibre, dysgueusie. Affections oculaires Peu
fréquent : Troubles visuels (tels que vision floue et diminution de l'acuité visuelle), conjonctivite, allergie oculaire (tels que prurit et irritation). Affections cardiaques Peu fréquent : Insuffisance cardiaque congestive (apparition de novo ou
aggravation), arythmie, troubles ischémiques des artères coronaires. Affections vasculaires Fréquent : Hypertension. Peu fréquent : Thrombose (telles que thrombose veineuse profonde et aortique), syndrome de Raynaud, rougeur. Affections
respiratoires, thoraciques et médiastinales Peu fréquent : Asthme et symptômes associés (tels que sifflements et hyperactivité bronchique). Rare : Maladie pulmonaire interstitielle. Affections gastro-intestinales Fréquent : Constipation,
dyspepsie, douleur gastro-intestinale et abdominale, nausées. Peu fréquent : Troubles inflammatoires gastro-intestinaux (tels que gastrite et colite), reflux gastro-oesophagien, stomatite. Affections hépatobiliaires Fréquent : Augmentation de
l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase. Peu fréquent : Cholélithiase, troubles hépatiques. Affections de la peau et du tissu sous cutané Fréquent : Alopécie, dermatite, prurit, rash. Peu fréquent : Psoriasis
(apparition de novo ou aggravation d'un psoriasis pré-existant, palmaire/plantaire et pustuleux), urticaire, vascularite (cutanée). Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Rare : Syndrome lupique. Affections rénales et urinaires
Peu fréquent : Troubles de la vessie. Rare : Troubles rénaux. Affections des organes de reproduction et des seins. Peu fréquent : Troubles mammaires, troubles du cycle menstruel. Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent : Pyrexie, asthénie, réaction au site d'injection (telle qu'érythème au site d'injection, urticaire, induration, douleur, hématome, prurit, irritation et paresthésie), altération des facultés de guérison, gêne thoracique. Blessure,
empoisonnement et opérations compliquées Peu fréquent : Fractures osseuses. * Observés avec d'autres anti-TNF, mais pas observés dans des études cliniques avec golimumab. Description des effets indésirables sélectionnés Infections
L'infection des voies respiratoires hautes a été l'effet indésirable le plus fréquemment observé lors des études combinées de phase III pour le traitement de la PR, du RP et de la SA jusqu'à la semaine 16, survenant chez 7,2 % des patients traités
par golimumab (incidence pour 100 sujets-année : 26,3 ; IC de 95 % : 22,1, 31,2) comparé à 5,8 % chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-année : 22,9 ; IC de 95 % : 16,6, 30,7). Dans les parties contrôlées et non contrôlées
des études cliniques avec un suivi médian d'approximativement 3 ans, l'incidence pour 100 sujets-année des infections des voies respiratoires hautes était de 17,4 évènements; IC de 95 %: 16,4, 18,6 chez les patients traités par golimumab. Lors
des études contrôlées de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA jusqu'à 16 semaines, des infections ont été observées chez 28,3 % des patients traités par golimumab (incidence pour 100 sujets-année : 128,0 ; IC de 95 % : 118,3,
138,2) comparé à 24,7 % chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-année : 116,6 ; IC de 95 % : 101,8, 132,9). Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi médian d'approximativement 3
ans, l'incidence pour 100 sujets-année des infections était de 96,0 évènements; IC de 95 %: 93,5, 98,6 chez les patients traités par golimumab. Lors des études contrôlées de phase III chez des patients atteints de PR, de RP et de SA jusqu'à 16
semaines, des infections sévères ont été observées chez 1,4 % des patients traités par golimumab et 1,3% des patients du groupe contrôle. Jusqu'à la semaine 16, l'incidence des infections graves pour 100 sujets-année était de 7,4 ; IC de 95
% : 4,6, 11,1 pour le groupe golimumab 100 mg; 3,3; IC de 95 % : 1,3, 6,9 pour le groupe golimumab 50 mg et 4,2; IC de 95 % : 1,8, 8,2 pour le groupe placebo. Les infections sévères observées chez les patients traités par golimumab comprenaient
tuberculose, infections bactériennes y compris sepsis et pneumonie, infections fongiques invasives et autres infections opportunistes. Certaines de ces infections ont été mortelles. Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études
cliniques de phase II et de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA avec un suivi médian d'approximativement 3 ans, il y avait une plus grande incidence d'infections graves, incluant les infections opportunistes et la TB chez les
patients recevant golimumab 100 mg comparé aux patients recevant golimumab 50 mg. L'incidence pour 100 sujets-année de toutes les infections graves était de 5,1; IC de 95 % :4,4, 5,9, chez les patients recevant golimumab 100 mg et de 3,0;
IC de 95 % : 2,4, 3,8 chez les patients recevant golimumab 50 g. Tumeurs malignes Lymphome Au cours des parties contrôlées des études cliniques de phase IIb et de phase III, l'incidence des lymphomes chez les patients traités par Simponi
atteints de PR, de RP et de SA au cours d'approximativement 3 années de suivi a été supérieure à celle attendue dans la population générale. Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi médian
d'approximativement 3 ans, une plus grande incidence de lymphome a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg comparé aux patients recevant golimumab 50 mg. Un lymphome a été diagnostiqué chez 7 sujets (1 dans le
groupe traité par golimumab 50 mg et 6 dans les groupes traités par golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) pour 100 sujets-année de suivi de 0,04 (0,00, 0,24) et 0,18 (0,06, 0,38) évènement pour golimumab 50 mg et 100 mg
respectivement et 0,00 (0,00, 0,84) évènement pour le groupe placebo. La majorité des lymphomes est survenue au cours de l'étude GO AFTER, qui incluait des patients exposés auparavant à des anti TNF, atteints d'une maladie de durée plus
longue et réfractaire à plus de traitements. Voir rubrique 4.4. Tumeurs malignes autres que le lymphome Dans les parties contrôlées des études cliniques sur Simponi de phase IIb et de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA,
au cours d'approximativment 3 années de suivi, l'incidence des tumeurs malignes autres que le lymphome (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était comparable dans les groupes Simponi et dans le groupe contrôle. Au
cours d'approximativment 3 années de suivi lors des études de phase IIb et de phase III sur les indications rhumatologiques, un cancer de la peau autre que le mélanome a été diagnostiqué chez 33 sujets (5 dans le groupe placebo, 10 dans le
groupe golimumab 50 mg et 18 dans le groupe golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) par 100 sujets-année de suivi de 0,49 (0,33, 0,71) pour les groupes golimumab combinés et 1,40 (0,46, 3,28) pour le groupe placebo. Au cours
d'approximativment 3 années de suivi lors des études de phase IIb et de phase III sur les indications rhumatologiques, des tumeurs malignes en plus d'un cancer de la peau autre que le mélanome et d'un lymphome ont été diagnostiquées
chez 34 sujets (2 dans le groupe placebo, 18 dans le groupe golimumab 50 mg et 14 dans le groupe golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) pour 100 sujets-année de suivi de 0,56 (0,38, 0,79) pour les groupes golimumab combinés
et 0,56 (0,07, 2,02) pour le groupe placebo. Voir rubrique 4.4. Cas rapportés lors d'études cliniques dans l'asthme Lors d'une étude clinique exploratoire, les patients atteints d'asthme persistant sévère ont reçu une dose de charge de golimumab
(150 % de la dose de traitement attribuée) par voie sous-cutanée à la semaine 0 suivie d'une dose de golimumab 200 mg, de golimumab 100 mg ou de golimumab 50 mg toutes les 4 semaines par voie sous-cutanée jusqu'à la semaine 52. Huit
tumeurs malignes dans le groupe de traitement golimumab combiné (n=230) et aucun dans le groupe placebo (n=79). Un lymphome a été rapporté chez 1 patient, un cancer de la peau autre que le mélanome chez 2 patients et d'autres tumeurs
malignes chez 5 patients. Aucun groupement spécifique selon un type quelconque de tumeur maligne n'a été défini. Au cours de la phase contrôle versus placebo de l'essai clinique, l'incidence (IC de 95 %) de toutes les tumeurs malignes par
100 sujets-année de suivi était de 3,19 (1,38, 6,28) dans le groupe golimumab. Dans cette étude, l'incidence (IC de 95 %) par 100 sujets-année de suivi chez les sujets traités par golimumab était de 0,40 (0,01, 2,20) pour le lymphome, 0,79 (0,10,
2,86) pour les cancers de la peau autre que le mélanome et 1,99 (0,64, 4,63) pour les autres tumeurs malignes. Pour les sujets sous placebo, l'incidence (IC de 95 %) par 100 sujets-année de suivi de ces tumeurs malignes était de 0,00 (0,00, 2,94).
La signification de ce résultat est inconnue. Atteintes neurologiques Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques de Phase II dans le traitement de la PR et de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA avec
un suivi médian d'approximativement 3 ans, une plus grande incidence des troubles démyélinisants a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg comparé aux patients recevant golimumab 50 mg. Voir rubrique 4.4. Augmentation
du taux des enzymes hépatiques Lors d'essais contrôlés de phase III jusqu'à la semaine 16, une légère augmentation du taux d'ALAT (> 1 et < 3 x la limite normale supérieure (LNS)) a été observée en proportions comparables chez les patients
traités par golimumab et les patients du groupe contrôle lors des études sur la PR et le RP (22,1 % à 27,4 % des patients) ; dans l'étude sur la SA, une légère augmentation du taux d'ALAT a été observée chez un nombre plus important de patients
traités par golimumab (25,6 %) que chez les patients du groupe contrôle (3,9 %). Au cours d'approximativement 3 années de suivi, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était comparable chez les patients traités par golimumab
et chez les patients du groupe contrôle lors des études sur la PR et le RP. Dans la population atteinte de SA, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était supérieure chez les patients traités par golimumab que chez les patients
du groupe contrôle. Lors des études sur la PR et la SA jusqu'à la semaine 16, l'augmentation du taux d'ALAT à 5 x LNS était peu fréquente et observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (0,4% à 0,9%) que de
patients du groupe contrôle (0,0 %). Cette tendance n'a pas été observée dans la population atteinte de RP. Au cours d'approximativement 3 années de suivi, l'incidence d'une légère augmentation du taux d'ALAT de 5 x LNS était comparable
chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle lors des études de phase III sur la PR, le RP et la SA. En général, ces augmentations ont été asymptomatiques et les anomalies ont diminué ou se sont résolues
soit en maintenant, soit en interrompant le traitement par golimumab, soit en modifiant la prise de médicaments concomitants. Au cours des études de phase II et de phase III sur la PR, le RP et la SA, un patient présentant des anomalies
hépatiques pré-existantes et recevant des traitements pouvant y être associés, a reçu golimumab et a développé une hépatite fatale non infectieuse accompagnée d'une jaunisse. Le rôle de golimumab comme facteur associé ou aggravant
ne peut pas être exclu. Réactions au site d'injection Des réactions au site d'injection ont été observées lors des études contrôlées de phase III de 16 semaines sur la PR, le RP et la SA chez 5,8 % des patients traités par golimumab par rapport
à 2,2 % chez les patients du groupe contrôle. La présence d'anticorps anti-golimumab peut augmenter le risque de réactions au site d'injection. La majorité des réactions au site d'injection étaient légères ou modérées, et la manifestation la
plus fréquente a été un érythème au site d'injection. Les réactions au site d'injection n'ont généralement pas nécessité l'arrêt du traitement.Lors des essais contrôlés de phase IIb et III sur la PR, le RP, la SA et l'asthme persistant sévère, aucun
patient traité par golimumab n'a développé de réaction anaphylactique. Auto-anticorps. Lors des essais de phase III sur la PR, le RP et la SA au cours d'une année de suivi, 4,0 % des patients traités par golimumab et 2,6 % des patients du
groupe contrôle ont développé des anticorps anti-nucléaires (à des titres de 1/160 ou supérieurs). La fréquence des anticorps anti-ADN double brin au bout d'un an de suivi chez les patients anti-ADN double brin négatif au début de l'étude
était peu fréquente. 7. TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Janssen Biologics B.V. Einsteinweg 101 2333 CB Leiden Pays-Bas 8. NUMERO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU/1/09/546/001 1 stylo prérempli
EU/1/09/546/002 3 stylos préremplis. 9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L'AUTORISATION Date de première autorisation : 1 octobre 2009 10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 02/2012. Des informations détaillées
sur ce médicament sont disponibles sur le site internet de l'Agence européenne des médicaments http://www.ema.europa.eu. MODE DE DELIVRANCE Médicament soumis à prescription médicale.
Schering-Plough NV/SA, an MSD Company
Clos du Lynx 5 Lynx Binnenhof · 1200 Bruxelles/Brussel
Tel.: +32(0)2 776 62 11 · Fax: +32(0)2 776 63 67
MSD Belgium SPRL
Clos du Lynx, 5 - 1200 Bruxelles
Pub_A4_Simponi_vertical_FR_MAY12.indd 2
31/05/12 16:28
RHEU-1041885-0000
PP = 1184,30
1 stylo prérempli 50 mg
mensuel
Un anti-TNF simple d'utilisation pour les patients
Une fois par mois
Un anti-TNF simple d'utilisation pour les patients
**
*
* Keystone EC et al., Ann Rheum Dis 2009, 68: 789-796. Inman RD et al., Arthritis and Rheumatism 2008, 58: N° 11, 3402-3412. Kavanaugh A et al., Arthritis and Rheumatism 2009, 60: N° 4, 976-986.
** Simponi
®
, notice scientifique 2011.
*** Pour de plus amples informations sur les différentes indications, veuillez consulter la notice scientifique.
Polyarthrite
rhumatoïde
Spondylarthrite
ankylosante
Rhumatisme
psoriasique***
Schering-Plough NV/SA, an MSD Company
Clos du Lynx 5 Lynx Binnenhof · 1200 Bruxelles/Brussel
Tel.: +32(0)2 776 62 11 · Fax: +32(0)2 776 63 67
MSD Belgium SPRL
Clos du Lynx, 5 - 1200 Bruxelles
Pub_A4_Simponi_vertical_FR_MAY12.indd 1
31/05/12 16:28