![]() tage de douleur. Par contre, les exercices de relaxation enregistrés, bien qu'ils aient un effet fa- vorable sur l'anxiété et la dépression, n'apportaient pas de bénéfice en termes de contrôle de la douleur. Une étude pilote prospective menée au- près de patients atteints d'un cancer cer- vico-facial a montré qu'un suivi télépho- nique assuré par le personnel soignant (infirmiers, psychologues) adapté à chaque cas (coping et gestion du stress) améliorait les facultés d'adaptation et réduisait l'anxiété (16). Il s'agissait es- sentiellement d'interventions de soutien. La douleur n'était pas un élément étudié. un impact sur les douleurs d'origine can- céreuse suscitent de plus en plus d'inté- rêt depuis quelques années. Elles ap- portent un bénéfice indéniable en termes de contrôle de la douleur, mais égale- ment en ce qui concerne d'autres para- mètres. Il est cependant utile de noter que la plupart des études n'ont pas toutes le même design, que la douleur n'est pas systématiquement l'élément étudié et que le nombre de patients est en général réduit. Cependant, il apparaît nécessaire de dé- tecter les patients à risque en utilisant les méthodes et les questionnaires adéquats (HAD notamment). Le contrôle de la logique, mais exige également une ex- pertise plus globale, dont la composante psychologique est un pilier. La douleur n'est pas une norme univer- selle et il convient à tout le moins de pouvoir autant que possible la contrôler et au mieux la prévenir. Ce serait en catégoriser en fonction d'éléments comme le sexe, l'ethnicité, le milieu so- cial ou culturel, ceux-ci n'étant que des critères risquant d'être appréhendés en termes de valeur (17). La douleur n'est ni une fatalité, ni une punition et c'est un des grands enjeux de la médecine que de la combattre. plutôt que de «douleur cancéreuse», qui est une terminologie inadéquate. Les douleurs liées au cancer sont à considérer comme des douleurs chroniques, dans un contexte pathologique particulier. 1. a critical review of the literature. J Pain Sympton Manage 2002;24:526-42. et al. Prevalence of pain in patients with cancer: A systematic review of the past 40 years. Ann Oncol 2007;18:1437-49. psychosocial intervention to reduce pain in patients with cancer. J Clin Oncol 2012;30:539-47. health status and psychological symptoms. J Pers Soc Psychol 1986;50:571-9. pain and analgesics in oncology outpatients with metastatic bone pain during participation in a psychoeducational intervention study to improve pain management. J Pain 2011;12:652-66. distress, the sixth vital sign, in lung cancer patients: effect on pain, fatigue and common problems-- secondary outcomes of a randomized trial. Psychooncology 2013;22(8):1880-8. Communal Coping Model and cancer pain: The role of catastrophizing and attachment style. J Pain 2012;13:1258-68. patterns, and depressive symptoms in couples coping with metastatic breast cancer. Psychooncology 2013;22(4):814-22. reduce metastatic breast carcinoma pain. Psychosom Med 1983;45:333-9. effectiveness of point-family carer (couple) intervention for the management of symptoms and other health- related problems in people affected by cancer: A systematic literature search and narrative review. J Pain Symptom Manage 2012;43:111-42. psychological and physical outcomes in cancer: a systematic review and meta-analysis. Support Care Cancer 2012;20:3043-53. of quality of life and lung function following choral singing in cancer survivors and their carers. Ecancermedicalscience 2012; 6:261. or not? A motivational perspective on coping with pain. Acta Neurol Belg 2012;112:3-7. preoperative pain and psychological robustness predict acute postoperative pain outcomes after surgery for breast cancer. Br J Cancer 2012;107:937-46. al. Stress management training for breast cancer surgery. Psychooncology 2013;22(3):572-80. of EASE: a psychosocial program to improve symptom management in head and neck cancer. Support Care Cancer 2013;21:191-200. Douleur Analg 2012;25:186-92. en pratique quotidienne. Cet article était une synthèse d'une table ronde sur l'expérience de 6 psychiatres. A la fin de l'article, il est fait mention du fait qu'aucun des psychiatres présents n'a jamais fait l'expérience d'un syndrome post-injection (PIS), qui reste extrêmement rare. Pour toute clarté, les Laboratoires Eli Lilly tiennent à préciser ici que cette table ronde ne concernait qu'un nombre limité de psychiatres et que cette affirmation ne peut être généralisée. Lilly souhaite insister sur le fait que le syndrôme post-injection survient dans moins de 0,1% des injections et chez environ 2% des patients, comme indiqué dans le Résumé des Caractéristiques du Produit. |