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HUMIRA
®
2 x 40mg
P.P. : 1087,20
ABBOTT SA/NV - BE 11 ADAM 03071 - 15 June 2011
DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT : Humira 40 mg solution injectable en seringue préremplie / Humira 40
mg solution injectable en stylo prérempli. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE : Une seringue
unidose préremplie de 0,8 ml contient 40 mg d'adalimumab / Un stylo prérempli unidose de 0,8 ml contient
40 mg d'adalimumab. L'adalimumab est un anticorps monoclonal humain recombinant exprimé dans des
cellules ovariennes de hamster chinois.
FORME PHARMACEUTIQUE : Solution injectable limpide en seringue préremplie./ Solution injectable
limpide en stylo prérempli
INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES : Polyarthrite rhumatoïde : Humira en as-
sociation au méthotrexate est indiqué pour: - le traitement de la polyarthrite rhumatoïde modérément à
sévèrement active de l'adulte lorsque la réponse aux traitements de fond, y compris le méthotrexate est
inadéquate. - le traitement de la polyarthrite rhumatoïde sévère, active et évolutive chez les adultes non
précédemment traités par le méthotrexate. Humira peut être donné en monothérapie en cas d'intolérance
au méthotrexate ou lorsque la poursuite du traitement avec le méthotrexate est inadaptée. Il a été mon-
tré qu'Humira ralentit la progression des dommages structuraux articulaires mesurés par radiographie et
améliore les capacités fonctionnelles lorsqu'il est administré en association au méthotrexate. Arthrite ju-
vénile idiopathique polyarticulaire : Humira en association au méthotrexate est indiqué pour le traitement de
l'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire évolutive chez l'enfant et l'adolescent de 4 à 17 ans en cas de
réponse insuffisante à un ou plusieurs traitements de fond. Humira peut être administré en monothérapie en
cas d'intolérance au méthotrexate ou lorsque la poursuite du traitement par le méthotrexate est inadaptée
(pour l'efficacité en monothérapie -voir rubrique 5.1). Humira n'a pas été étudié chez l'enfant de moins de
4 ans. Rhumatisme psoriasique : Humira est indiqué pour le traitement du rhumatisme psoriasique actif et
évolutif chez l'adulte lorsque la réponse à un traitement de fond antérieur a été inadéquate. Il a été montré
qu'Humira ralentit la progression des dommages structuraux articulaires périphériques tels que mesurés par
radiographie, chez les patients ayant des formes polyarticulaires symétriques de la maladie (voir rubrique
5.1) et améliore les capacités fonctionnelles. Spondylarthrite ankylosante: Humira est indiqué pour le traite-
ment de la spondylarthrite ankylosante sévère et active chez l'adulte ayant eu une réponse inadéquate au
traitement conventionnel. Maladie de Crohn : Humira est indiqué dans le traitement de la maladie de Crohn
active, sévère, chez les patients qui n'ont pas répondu malgré un traitement approprié et bien conduit par
un corticoïde et/ou un immunosuppresseur ; ou chez lesquels ce traitement est contre-indiqué ou mal
toléré. Psoriasis : Humira est indiqué dans le traitement du psoriasis en plaques, modérée à sévère, chez
les patients adultes qui ne répondent pas à d'autres traitements systémiques comme la ciclosporine, le
méthotrexate ou la puvathérapie, ou chez lesquels ces traitements sont contre-indiqués ou mal tolérés.
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION : Le traitement par Humira doit être instauré et supervisé par
un médecin spécialiste qualifié en matière de diagnostic et de traitement de la polyarthrite rhumatoïde, de
l'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire, du rhumatisme psoriasique, de la spondylarthrite ankylosante,
de la maladie de Crohn, ou du psoriasis. Une carte spéciale de surveillance sera remise aux patients traités
par Humira. Après une formation correcte à la technique d'injection, les patients peuvent s'auto-injecter
Humira, si leur médecin l'estime possible, sous le couvert d'un suivi médical approprié. Pendant le traite-
ment par Humira, les autres traitements concomitants (tels que les corticoïdes et/ou immunomodulateurs)
devront être optimisés. Adultes : -Polyarthrite rhumatoïde: Chez les patients adultes atteints de polyarthrite
rhumatoïde, la posologie recom-
mandée d'Humira est une dose
unique de 40 mg d'adalimumab
administrée toutes les deux se-
maines, par voie sous-cutanée.
L'administration de méthotrex-
ate doit être continuée pendant
le traitement par Humira. Les
glucocorticoïdes, les salicylés,
les anti-inflammatoires non
stéroïdiens ou les antalgiques
peuvent être poursuivis pendant
le traitement par Humira. En
ce qui concerne l'association
aux autres médicaments anti-
rhumatismaux de fond autres
que le méthotrexate, voir no-
tice. En monothérapie, certains
patients chez qui l'on observe
une diminution de leur réponse
à Humira, peuvent bénéficier
d'une augmentation de la posol-
ogie à 40 mg d'adalimumab
toutes les semaines. Interrup-
tion du traitement : Il peut être
nécessaire d'interrompre le
traitement, par exemple avant
une intervention chirurgicale ou
en cas d'infection sévère. Les
données disponibles suggèrent
que la ré-introduction d'Humira
après un arrêt de 70 jours ou
plus entraîne une réponse cli-
nique de même ampleur et un
profil de tolérance similaire à
celui observé avant l'interruption
du traitement. -Rhumatisme
psoriasique et spondylarthrite
ankylosante : La posologie re-
commandée d'Humira pour les
patients atteints de rhumatisme
psoriasique ou de spondylarthrite ankylosante est de 40 mg d'adalimumab en dose unique toutes les deux
semaines, en injection sous-cutanée. Pour toutes les indications ci-dessus, les données disponibles laissent
supposer que la réponse clinique est habituellement obtenue en 12 semaines de traitement. La poursuite
du traitement devra être soigneusement reconsidérée chez un patient n'ayant pas répondu dans ces délais.
-Maladie de Crohn : Chez les patients adultes atteints de maladie de Crohn sévère, le schéma posolo-
gique d'induction recommandé d'Humira est de 80 mg à la semaine 0, suivis de 40 mg à la semaine 2.
S'il est nécessaire d'obtenir une réponse plus rapide au traitement, le schéma 160 mg à la semaine 0 (la
dose peut être administrée sous forme de 4 injections par jour ou de 2 injections par jour pendant deux
jours consécutifs), 80 mg à la semaine 2, peut être utilisé sachant que le risque d'événements indésirables
est alors plus élevé pendant cette phase d'induction. Après le traitement d'induction, la posologie recom-
mandée est une dose de 40 mg administrée toutes les deux semaines, en injection sous-cutanée. Si un
patient a arrêté le traitement par Humira et si les signes et symptômes de la maladie réapparaissent, Humira
pourra être ré-administré. L'expérience de la ré-administration du traitement au-delà de 8 semaines après
la dose précédente est limitée. Pendant le traitement d'entretien, les corticoïdes pourront être progressive-
ment diminués conformément aux recommandations de pratique clinique. Certains patients chez qui une
diminution de la réponse au traitement est observée peuvent bénéficier d'une augmentation de la posologie
à 40 mg d'Humira toutes les semaines. Certains patients n'ayant pas répondu au traitement à la semaine
4 peuvent poursuivre le traitement d'entretien jusqu'à la semaine 12. La poursuite du traitement devra être
soigneusement reconsidérée chez un patient n'ayant pas répondu dans ces délais. -Psoriasis : La posologie
recommandée d'Humira pour débuter le traitement chez l'adulte est de 80 mg par voie sous-cutanée. La
posologie se poursuivra une semaine après par 40 mg en voie sous-cutanée une semaine sur deux. La
poursuite du traitement au delà de 16 semaines doit être soigneusement reconsidérée chez un patient
n'ayant pas répondu dans ces délais. Patients âgés : Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire.
Population pédiatrique: Arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire. Humira n'a pas été étudié chez l'enfant
âgé de moins de 4 ans. Des données limitées sont disponibles sur le traitement par Humira pour des enfants
d'un poids inférieur à 15kg. Arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire de 4 à 12 ans. La posologie recom-
mandée d'Humira pour les patients âgés de 4 à 12 ans atteints d'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire
est de 24mg/m² de surface corporelle jusqu'à une dose unique maximale de 40 mg d'adalimumab toutes
les deux semaines, en injection sous-cutanée. Le volume d'injection est déterminé en fonction de la taille
et du poids (voir tableau 1 du RCP ). Un flacon pédiatrique de 40 mg est disponible pour les patients qui
ont besoin d'une dose inférieure à une dose entière de 40 mg. Arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire
de 13 à 17 ans. Pour les adolescents âgés de 13 à 17 ans, une dose de 40 mg est administrée toutes les 2
semaines quelle que soit la surface corporelle. Les données disponibles laissent supposer que la réponse
clinique est habituellement obtenue en 12 semaines de traitement. La poursuite du traitement devra être
soigneusement reconsidérée chez un patient n'ayant pas répondu dans ces délais. Insuffisants rénaux ou
hépatiques: Humira n'a pas été étudié dans ces populations de patients. Il n'est pas possible de recom-
mander des posologies.
CONTRE-INDICATIONS : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des ex-
cipients. Tuberculose évolutive ou autres infections sévères telles que sepsis
et infections opportunistes. Insuffisance cardiaque modérée à sévère (NYHA
classes III/IV).
EFFETS INDESIRABLES : Essais cliniques : Humira a été
étudié chez 6728 patients dans des essais contrôlés et en ouvert d'une durée
maximale de 60 mois. Ces essais ont inclus des patients atteints de polyar-
thrite rhumatoïde récente ou ancienne, d'arthrite juvénile idiopathique polyar-
ticulaire ou des patients souffrant de rhumatisme psoriasique, de spondylarthrite ankylosante, de la maladie
de Crohn et de psoriasis. Les données du tableau 2 reposent sur les études contrôlées pivots portant sur
4419 patients ayant reçu Humira et 2552 patients ayant reçu un placebo ou un comparateur actif pendant la
phase contrôlée. Le pourcentage de patients ayant interrompu le traitement en raison d'effets indésirables
pendant la phase en double aveugle, contrôlée, des études pivots a été de 4,5% chez les patients traités par
Humira et de 4,5% chez les patients du groupe contrôle. Effets indésirables chez les patients pédiatriques
atteints d'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire : En général, la fréquence et le type des événements
indésirables observés chez les patients pédiatriques ont été comparables à ceux observés chez les patients
adultes. Les effets indésirables cliniques et biologiques présentant une relation de causalité au minimum
possible avec l'adalimumab pour les études cliniques sont présentés par système-organe et par fréquence
(très fréquent 1/10 ; fréquent 1/100 à < 1/10 ; peu fréquent 1/1000 à < 1/100 ; rare 1/10 000 à < 1/1000 et
très rare < 1/ 10 000) dans le tableau 1 ci-dessous. Au sein de chaque fréquence de groupe, les effets indé-
sirables sont présentés par ordre décroissant de gravité. La fréquence la plus élevée observée dans les di-
verses indications a été incluse. La présence d'un astérisque (*) dans la colonne « Classe de systèmes
d'organes » indique que de plus amples informations sont disponibles aux rubriques 4.3, 4.4 et 4.8. Sur la
base d'un des effets indésirables les plus fréquemment observés avec l'adalimumab lors d'études cliniques
contrôlées, des réactions au site d'injection sont attendues chez environ 15 % des patients. Effets indésira-
bles observés dans les études cliniques : Infections et infestations* : Très fréquent ; Infections des voies
respiratoires (y compris infection des voies respiratoires basses et infection des voies respiratoires hautes,
pneumonie, sinusite, pharyngite, rhino-pharyngite et pneumonie herpétique). Fréquent ; Infections sys-
témiques (y compris sepsis, candidose et grippe). Infections intestinales (y compris gastro-entérite virale).
Infections cutanées et des tissus mous (y compris panaris superficiel périunguéal, cellulite, impétigo, fasciite
nécrosante et zona). Infections de l'oreille. Infections buccales (y compris herpès, herpès buccal et infec-
tions dentaires). Infections des organes de reproduction (y compris mycose vulvo-vaginale). Infections des
voies urinaires (y compris pyélonéphrite). Infections fongiques. Peu fréquent ; Infections opportunistes et
tuberculose (y compris coccidioïdomycose, histoplasmose et infections à Mycobacterium avium complex).
Infections neurologiques (y compris méningite virale). Infections oculaires. Infections bactériennes. Infec-
tions articulaires. Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)* : Fréquent; Tumeur
bénigne. Cancer de la peau à l'exclusion du mélanome (y compris carcinome basocellulaire et carcinome
malpighien spino-cellulaire). Peu fréquent; Lymphome**. Tumeurs des organes solides (y compris cancer du
sein, du poumon et de la thyroïde). Mélanome**. Affections hématologiques et du système lymphatique*:
Très fréquent; Leucopénie (y compris neutropénie et agranulocytose). Anémie. Fréquent; Thrombocy-
topénie. Leucocytose. Peu
fréquent; Purpura thrombopé-
nique idiopathique. Rare ;
Pancytopénie. Affections du
système immunitaire* :
Fréquent ; Hypersensibilité.
Allergies (y compris allergie
saisonnière). Troubles du mé-
tabolisme et de la nutrition :
Très fréquent; Augmentation
du taux de lipides. Fréquent;
Hypokaliémie. Augmentation
de l'acide urique. Taux anor-
mal de sodium dans le sang.
Hypocalcémie. Hypergly-
cémie. Hypophosphatémie.
Augmentation du taux de po-
tassium dans le sang. Peu
fréquent; Déshydratation. Af-
fections psychiatriques :
Fréquent; Troubles de
l'humeur (y compris dépres-
sion). Anxiété, insomnie. Af-
fections du système nerveux*
: Très fréquent; Céphalées.
Fréquent; Paresthésies (y
compris hypoesthésie). Mi-
graine. Sciatique. Peu
fréquent; Tremblements.
Rare; Sclérose en plaques. Af-
fections oculaires : Fréquent;
Troubles visuels. Conjonctiv-
ite. Peu fréquent; Blépharite.
Gonflement des yeux. Diplop-
ie. Affections de l'oreille et du
labyrinthe : Fréquent; Vertig-
es. Peu fréquent; Surdité.
Acouphènes. Affections car-
diaques* : Fréquent; Tachy-
cardie. Peu fréquent; Aryth-
mies. Insuffisance cardiaque
congestive. Rare; Arrêt cardiaque. Affections vasculaires : Fréquent; Hypertension. Bouffées de chaleur.
Hématomes. Rare; Occlusion vasculaire. Thrombophlébite. Anévrysme aortique. Affections respiratoires,
thoraciques et médiastinales* : Fréquent; Toux. Asthme. Dyspnée. Peu fréquent; Broncho-pneumopathie
chronique obstructive. Maladie pulmonaire interstitielle. Pneumopathie. Affections gastro-intestinales : Très
fréquent; Douleurs abdominales. Nausées et vomissements. Fréquent; Hémorragie gastro-intestinale. Dys-
pepsie. Reflux gastro-oesophagien. Syndrome de Gougerot-Sjögren. Peu fréquent; Pancréatite. Dysphagie.
OEdème du visage. Affections hépatobiliaires* : Très fréquent; Elévation des enzymes hépatiques. Peu
fréquent; Cholécystite et lithiase biliaire. Hyperbilirubinémie. Stéatose hépatique. Affections de la peau et du
tissu sous-cutané : Très fréquent; Rash (y compris éruption exfoliative). Fréquent; Prurit. Urticaire. Ecchy-
moses (y compris purpura). Dermatite (y compris eczéma). Onychoclasie. Hyperhidrose. Peu fréquent;
Sueurs nocturnes. Cicatrice. Affections musculo-squelettiques et systémiques : Très fréquent; Douleurs
musculo-squelettiques Fréquent; Spasmes musculaires (y compris augmentation de la créatine phosphoki-
nase sérique). Peu fréquent ; Rhabdomyolyse. Rare ; Lupus érythémateux disséminé. Affections du rein et
des voies urinaires : Fréquent; Hématurie. Insuffisance rénale. Peu fréquent; Nycturie. Affections des or-
ganes de reproduction et du sein : Peu fréquent; Troubles de la fonction érectile. Troubles généraux et
anomalies au site d'administration* : Très fréquent; Réaction au site d'injection (y compris érythème au site
d'injection). Fréquent; Douleur thoracique. OEdème. Peu fréquent; Inflammation. Investigations : Fréquent;
Troubles de la coagulation et troubles hémorragiques (incluant un allongement du temps de céphaline ac-
tivé). Positivité aux auto-anticorps (y compris aux anticorps anti-ADN double brin). Augmentation du taux
sanguin de lactate deshydrogénase. Lésions, intoxications et complications liées aux procédures* :
Fréquent; Mauvaise cicatrisation. ** y compris les études d'extension en ouvert. Autres effets indésirables
observés au cours de la surveillance post-marketing ou d'essais cliniques de phase IV : Effets indésirables
lors de la surveillance post-marketing et des études cliniques de phase IV : Infections et Infestations : Diver-
ticulite. Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)* : Lymphome hépatosplénique
à lymphocytes T, leucémie. Affections du système immunitaire*: Anaphylaxie, sarcoïdose. Affections du
système nerveux*: Affections démyélinisantes (par ex. névrite optique, syndrome de Guillain-Barré), acci-
dent vasculaire cérébral. Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales : Embolie pulmonaire,
Epanchement pleural, fibrose pulmonaire. Affections gastro-intestinales*: Perforation intestinale. Affections
hépatobiliaires*: Réactivation d'hépatite B. Affections de la peau et du tissu sous-cutané : Vascularite cu-
tanée, syndrome de Stevens-Johnson, angioedème, apparition ou aggravation d'un psoriasis (y compris
psoriasis pustulaire palmoplantaire), érythème polymorphe, alopécie. Affections musculo-squelettiques et
systémiques : Syndrome type lupus. Affections cardiaques : Infarctus du myocarde.
TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE: Abbott Laboratories Ltd. ­ Maiden-
head - Berkshire SL6 4XE - Royaume-Uni. NUMERO DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE:
EU/1/03/256/003 / EU/1/03/256/008. DATE DE REVISION DU TEXTE : Mars 2011. Sur prescription médicale.
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