phase III destinés à l'évaluer en termes de survie sans progression. des résultats prometteurs dans une petite étude de phase II, il a montré ensuite qu'il doublait au moins le délai avant de refaire une paracentèse (55 jours contre 23 jours, p = 0,0019), avec cependant un risque de perforation (32). Autre agent, l'ombrabuline, un agent vasculotoxique (VDA pour occlusion vasculaire immédiate engendrant une nécrose hypoxique tumorale centrale. Il désorganise les micro- vaisseaux et favorise la nécrose tumorale. Il est en cours d'investigation. de l'ADN, inclinant ainsi l'hélice vers le grand sillon, dé- clenche une cascade d'événements qui affectent plusieurs facteurs de transcription, des protéines fixant l'ADN et les voies de réparation de l'ADN, perturbant ainsi le cycle cel- lulaire. Elle exerce ainsi des effets antiprolifératifs cer de l'ovaire (33). Associée à la doxorubicine liposomale pégylée, elle allonge de manière significative la survie sans progression (7,4 mois, contre 5,6 mois; p = 0,0008) (34). sont impliquées dans la réparation des dommages de l'ADN. Ce mécanisme très utile pour les cellules saines l'est beaucoup moins quand il s'agit de cellules cancéreuses, pour lesquelles les PARP deviennent des alliés en réparant les dommages causés notamment par la chimiothérapie (35). Partant de ce constat, les chercheurs ont tenté de neutraliser PARP, espérant que ce blocage rendrait les r opor ession fr Oncology' traitement: chirurgical, médical ou radiothérapique. attention particulière à la nécessité de donner une vue d'ensemble de la prise en charge de ces cancers et ce, de la manière la plus clinique possible. Les participants sont en effet des cliniciens de tous types (gynécologues, oncologues, chirurgiens, pathologistes, radiothérapeutes,...) avec des backgrounds très différents et des niveaux de connaissance très variables selon les aspects thérapeutiques envisagés. heureux de pouvoir constater de nettes améliorations récentes dans sa prise en charge. Ainsi, trois changements majeurs me semblent devoir être relevés: - l'influence de la chirurgie radicale la plus complète possible en traitement de première ligne est de plus en plus avérée sur le pronostic; - de nombreuses patientes peuvent à présent bénéficier d'une chimiothérapie de première et de deuxième ligne avec des résultats fort |