(aménorrhée hypothalamique ou dysfonction hypothala- mique), un hypergonadisme (le plus souvent dans le cadre du syndrome des ovaires polykystiques) ou pour orienter la stratégie thérapeutique en cas de traitement de substi- tution (en cas de trouble d'hypoactivité du désir féminin)», signale Richard Legro (Hershey, Pennsylvanie). Se focali- sant sur le syndrome des ovaires polykystiques, il rappelait biologique) caractérise avec certitude ce syndrome, par ailleurs diagnostic d'exclusion. C'est dans ce cadre qu'on peut rappeler que si la sensibilité d'un taux élevé de tes- tostérone (> 250ng/dl) est de 100% en faveur d'un néo- plasme, sa valeur prédictive positive n'est que de 9% (1), la sensibilité tombant à 60% pour des taux > 125ng/dl (2). discriminant du syndrome des ovaires polykystiques par rapport à l'aménorrhée hypothalamique, au même titre testiculaire, surrénalien et prostatique chez l'homme, et par les glandes surrénales et les ovaires chez la femme. Hommes et femmes produisent donc de la testostérone, mais les deux sexes ne sont pas à égalité, car l'organisme tonus musculaires et l'équilibre cardiovasculaire. Encore faut-il détecter les bonnes indications et administrer la bonne dose. Résumé de la session spécifiquement consacrée à cette hormone aux deux visages. |