gnalée à des fréquences allant jusqu'à 35%, bien que l'ap- plication d'une définition meilleure et univoque de l'AIMSS conjuguée à l'expérience clinique a conduit à un taux de notification beaucoup plus élevé ( séquentielle avec le tamoxifène et l'exémestane) et l'étude AtAC ( respectivement pour les bras anti-aromatase (6, 7). vement la qualité de vie et la compliance des patientes, et finalement résulter en un arrêt précoce du traitement (1). La question de savoir si ces plaintes sont un indicateur potentiellement important d'efficacité du traitement antihormonal fait toujours l'objet de controverses. Ainsi, l'étude ATAC a démontré que des patientes qui présen- taient des plaintes articulaires suite à un traitement anti- endocrinien avaient un risque moindre de récidive de leur (Avec l'aimable autorisation de Springer Science+Business Media: Breast Cancer Research and Treatment, Debilitating musculoskeletal pain and stiffness with letrozole and exemestane: associated tenosynovial changes on magnetic resonance imaging, 104, 2007, 87-91, Morales L Pans S, Paridaens R et al, Figure 1.) tamoxifène ou placebo dans les études cliniques ou dans la pratique. Suivi (mois) Upfront treatment AtAC (6 33 mois 25,8 mois ARNO 95 (10 MA-17 (12 Crew 2007 (13 Breast & Colorectal Cancer Study Group Trial 8; IES = Intergroup Exemestane Study; NR = non rapporté |