![]() ments expriment ce qu'ils ne peuvent faire par la parole. Les conduites pertur- batrices et violentes, les difficultés d'apprentissage, l'énurésie, l'encoprésie, l'hyperactivité, les comportements sexua- lisés... expriment ainsi la souffrance, de même que d'autres symptômes moins vi- sibles mais non moins graves: angoisses, dépression, inhibition affective, isolement social. Il faut alors se méfier d'autres mal- traitances, telles que judiciaire ou éduca- tive, lorsque les professionnels chargés de leur prise en charge les réduisent à un diagnostic psychiatrique. tème sensoriel, biologique, affectif et social où baigne l'enfant: l'écologie familiale qui entoure et «tutore» le déve- loppement de l'enfant, vient de nos structures sociales, de nos lois, de nos croyances et de nos comportements. L'altération d'un seul rouage altère l'équilibre du système, comme par exemple l'incompétence parentale par excès de répression, excès de permissi- vité, ou encore négligence (7). psychologie à Tel Aviv, concernant la résistance non violente, est très im- pressionnant. Cet orateur en rappelle l'éthique ainsi que les principes fonda- mentaux avec une vue nouvelle sur l'au- torité (8). Sa méthode de réaction non violente est basée sur la présence phy- sique la plus évidente possible, voire par coups de téléphone ou courriers répéti- tifs. Il existe bien sûr un danger de l'esca- lade mais pour éviter celle-ci, il amène un nouveau concept de l'autorité qui ne vise pas à vaincre mais à persister. Il de- mande de mettre en avant l'exemple des parents plutôt que d'inculquer le contrôle de soi aux enfants, l'importance d'une décision collégiale dans un contexte de réseau de soutien (école, rence dans les communications. Il valorise la patience et une réaction lente tout en utilisant par exemple le proverbe modifié «battre le fer tant qu'il est froid»! Toute son expérience et cette nouvelle mé- thode sont colligées dans son livre (8). seur à l'UCL, expose l'évolution de la loi concernant les mineurs. La nouvelle loi permet à l'avocat de jouer un rôle de défenseur sans être ni éducateur, ni soi- gnant, mais en étant le porte- parole du jeune après l'avoir beaucoup écouté. Enfin, c'est aussi son rôle de poser au ma- gistrat les questions qui dé- rangent afin de provoquer une saine réflexion sur les mesures à prendre pour guider le jeune sur son chemin qui restera malheureusement toujours assez incer- tain en raison généralement de la pré- carité de ces enfants et des facteurs d'en- vironnement difficilement contrôlables. l'interface psychiatrie/justice, laissant beaucoup la parole à l'assistance. Les difficultés à travailler ensemble, ou du moins sur une même voie, ont pu être exprimées, en essayant de tracer des pistes pour une meilleure collaboration. mis des échanges entre le monde de la gique à l'enfance, ce qui est fondamen- tal pour améliorer les prises en charge. L'avenir s'oriente manifestement vers une meilleure compréhension de ces deux pôles, grâce à diverses initiatives, par exemple de formation des juristes à des éléments de base de santé mentale, formation existante en France et démar- rant en Belgique grâce entre autres à l'initiative de L. Servais. La suite dans deux ans, car ce congrès reste bisannuel. 1. Oxford Press University 2009;170-1. hippocampus. Eur J Pharmacol 83(2-3):312-21. deficits associated with exposure to psychological trauma and posttraumatic disorder in adults: a meta- analysis. Progress in Neuropsychopharmacology and Biological Psychiatry 2010;34(7):1181-8. `Résilience: Connaissances de base' sous la direction de B Cyrulnik et G Jorland, Eds Odile Jacob, Paris, 2012. compétences parentales et résilience. Eds Fabert, Paris, 2007. écosystémique de l'enfance. Eds Erès, Toulouse, 2007. bientraitance infantile: compétences parentales et résilience. Eds Fabert, Paris, 2007. approche des enfants violents et auto-destructeurs. Eds De Boeck, Bruxelles, 2008. contient 250mg / 500mg / 750mg / 1.000mg de lévétiracétam.750mg: Excipient: chaque comprimé pelliculé contient 0,013mg de jaune orangé FCF (E 110). de l'autre côté. 750mg: Comprimé pelliculé de couleur rose, ovale biconvexe, avec inscription `L 66' et une barre de cassure d'un côté et égal de l'autre côté. 1.000 mg: Comprimé pelliculé de couleur blanche jusqu'à presque blanche, ovale biconvexe, avec inscription `L 67' et une barre de cassure d'un côté et égal de l'autre côté. Le comprimé peut être divisé en deux demi-doses égales. des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte, l'adolescent, l'enfant et le nourrisson à partir de 1 mois présentant une épilepsie; - dans le traitement des crises myocloniques de l'adulte et de l'adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie myoclonique juvénile; - dans le traitement des crises généralisées tonico-cloniques primaires de l'adulte et de l'adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie généralisée idiopathique. Posologie et mode d'administration: Posologie: En monothérapie, pour adulte et adolescent à partir de 16 ans: La dose initiale recommandée est de 250mg 2 fois par jour. Elle doit être augmentée après 2 semaines à la dose thérapeutique de 500mg 2 fois par jour. La dose peut être augmentée à nouveau de 250mg 2 fois par jour toutes les 2 semaines en fonction de la réponse clinique. La dose maximale est de 1.500mg 2 fois par jour. Traitement en association, pour adulte ( jusqu'à 1.500mg 2 fois par jour. Les augmentations et diminutions posologiques peuvent se faire par paliers de 500mg 2 fois par jour toutes les 2 à 4 semaines. Populations particulières: Sujet âgé (65 ans et plus): Un ajustement de la dose est recommandé chez les sujets âgés présentant une altération de la fonction rénale (voir «Insuffi sance rénale» ci-après). Insuffi sance rénale: La dose quotidienne doit être adaptée individuellement d'après la fonction rénale. Pour l'adulte, utiliser le tableau ci-dessous et ajuster la posologie comme indiqué. Il est nécessaire de calculer la clairance de la créatinine (CL 03/2013 500 mg : 58.72 750 mg : 84.39 1000 mg : 109.48 |