![]() cié d'une transplantation autologue et 15% d'une transplantation hétérologue. une durée médiane de traitement de 16,1 mois: 67,2% (45/67) ont été traités durant plus de 12 mois, 37,3% (25/67) durant plus de 24 mois et 13,4% (9/67) durant plus de 36 mois. Quatorze sujets étaient toujours sous traitement au moment de l'analyse. les patients traités plus de 12 mois: 42,9 mois versus 20,5 mois quand on considère les sujets dont le traitement a été arrêté pour une raison différente de la progression de la maladie (p = 0,0003) ( bénéficié d'une autogreffe, d'une allogreffe ou d'un traitement conventionnel. peu que soient prises les mesures de prophylaxie des événements thrombo-emboliques. thasone (Rd) est probablement aussi efficace que lorsqu'il est associé à des doses pleines de dexaméthasone (RD). Le schéma Rd pourrait par ailleurs être mieux toléré. favorable pour le schéma Rd rétrospective, comparé un schéma len + dex comprenant des doses pleines de dexaméthasone (RD) avec un schéma len + dex com- prenant de faibles doses de dexaméthasone (Rd) chez des patients ayant un myélome multiple récidivant/réfractaire (5). avaient été plus fréquemment exposés à la thalidomide. Les taux de résistance à la thalidomide et au bortézomib au sein de ce groupe étaient plus élevés, comme le pourcentage d'atteintes réfractaires. , aucune différence significative en termes de survie globale n'appa- raît entre le schéma RD et le schéma Rd: le taux de survie globale à 1 an est de 67% pour le schéma RD et de 87% pour le schéma Rd. schéma MPT. er en er en p < 0.0001 P = 0.0003 récidivant/réfractaire s'est encore trouvée renforcée récemment lors des communications scientifiques présentées au cours du 54 Ces données récentes illustrent en particulier le bénéfice du traitement continu jusqu'à progression avec la combinaison lénalidomide + dexaméthasone (len + dex). après thalidomide rétrospective et multicentrique l'efficacité et la sécurité du léna- lidomide chez des patients (n = 65) initialement traités par MPT (melphalan-prednisone-thalidomide) (1). Le lénalidomide était ad- ministré dans le cadre d'une première (n = 47) ou d'une seconde récidive (n = 18). La durée moyenne du traitement de première ligne sous T (thalido- mide) était de 13 mois, avec un taux de réponse globale de 90%. La durée moyenne de la réponse au MPT a été de 25,5 mois. - un taux de réponse globale au lénalidomide de 77,5% (réponse partielle: 46,5%) ( rables. Ces effets ont consisté en une toxicité hématologique (n = 8), des événements thrombo-emboliques (n = 3) et des troubles géné- raux ou gastro-intestinaux (n = 9). L'efficacité et la sécurité du lénalidomide sont donc préservées après exposition antérieure à la thalidomide. vraie vie montre qu'une dose de départ de 25mg et des ajus- tements de la dose en cours de traitement sont associés à une prolongation de la durée de traitement, permettant à une proportion importante de patients d'être traités au-delà d'un ou deux ans, malgré un emploi de len + dex après deux lignes préalables de traitement. doses de façon souple: 2 conditions de succès pour un traitement à long terme traitement jusqu'à progression est associée à une amélioration de la survie (2). Le «UK Revlimid Treatment Continuation Schema», mis sur pied au Royaume-Uni, permet de suivre les modalités d'uti- lisation du lénalidomide et leur impact sur la durée du traitement. nées recueillies grâce à une cohorte de patients inclus dans le pro- gramme entre juillet 2009 et septembre 2010, et suivis durant deux années de traitement (3). L'analyse concerne 1.779 malades ayant un myélome récidivant et réfractaire après deux lignes préalables de traitement, dans 193 centres du Royaume-Uni. Dans 65% des cas, le traitement a été initié à la dose recommandée de 25mg. Une modification de la dose a eu lieu dans 48% des cas. dose de départ plus élevée et une durée de traitement plus éten- due. La probabilité d'atteindre une durée de traitement compre- nant 24 cycles ou plus était 1,58 fois plus élevée chez les patients traités initialement par 25mg/j plutôt que par 10mg/j (p = 0,024) modification de la dose et la durée de traitement: le nombre de cycles était de 7,3 sans ajustement, pour 15 lorsque la dose était ajustée une fois au moins (p < 0,0001). lénalidomide a été possible durant 12 et 24 cycles ont été respecti- vement de 33,4% et 17,6%. par lénalidomide durant plus de 12 mois est associé à un bénéfice significatif en survie globale. de plus de 12 mois la maladie ou survenue d'effets indésirables majeurs est établi, les données évaluant le rapport bénéfice/risque de cette attitude en pratique courante, en dehors du cadre des études cliniques, sont relativement peu nombreuses. L'analyse rétrospective de Katharina Oerhlein et al. (Tuebingen, Allemagne) a porté sur des sujets (n = 67) ayant reçu en moyenne |