![]() l'arrivée des médications augmentant l'effet incré- tine. Y apporter une réponse impose aujourd'hui possibles. il semble prématuré d'effacer de la liste de ces options la combinaison metformine + sulfonylurée. les dia- bétiques de type 2 sont exposés à un risque cardiovasculaire deux à trois fois plus élevé que les sujets non-diabétiques. l'hyperglycémie ne constitue chez eux qu'une facette de la prise en charge: les autres facteurs de risque cardiovasculaire jouent un rôle au moins aussi important. exercice, les généralistes ne pour- raient-ils pas se contenter d'utiliser les bles et de la masse de recherches menées dans les autres disciplines cliniques? Ce serait faire fi de la difficulté d'établir des stratégies diagnostiques avec les risques iatrogènes et les coûts engendrés par les explorations inutiles. Mais c'est sur le plan thérapeutique et de la qualité de vie que la recherche en médecine générale a le plus bel avenir. le point avec le Pr Henk Bilo (Groningen) sur les bénéfices que peuvent tirer les patients diabétiques de type 2 d'une recherche élaborée sur leur quotidien. |