![]() humaine. Jouer est source de plaisir et de divertissement. C'est une manière de se détendre en prenant du recul sur la routine journalière et de prendre plaisir dans des activités différentes de la vie de tous les jours. du moins, addiction au jeu n'est pas banal car, même si elles le reconnaissent à demi-mot, les personnes qui présentent ce syndrome persistent très souvent dans leur comportement au point de mettre en danger non seulement eux-mêmes, mais également leur famille par les dépenses énormes qu'entraîne leur addiction, ou leur entourage, car le recours au crime pour apurer les dettes n'est pas rare. de plus, ces personnes pathologie, qui débute habituellement entre 20 et 40 ans, est très fré- quemment associée à d'autres pathologies psychiatriques: bipolarité, toxicomanie... de nombreuses équipes à s'intéresser de plus près au phénomène et à sa prise en charge, ce qui leur a permis de constater une prévalence qui varie entre 0,2% et 5% selon les pays (1). Une meilleure connaissance neurobiologique de cette affection a rapidement permis de définir plusieurs pistes de prise en charge, comportementales et médicamenteuses. |