était pris par environ 50% des malades dans chaque étude. Des radiographies des mains et des pieds ont été faites initialement puis à 24 et 52 semaines que les sujets aient ou non bénéficié de la procédure de renforcement thérapeutique à 16 semaines prévue par le protocole. Une radio graphie était faite en cas d'arrêt de traitement, sauf si un cliché avait été pris endéans les 8 semaines précédentes. n'ayant connaissance ni du traitement reçu, ni de l'identité des patients, ni de la chronologie des clichés. Le critère principal d'évaluation était la modification à la semaine 24 du score total de Sharp modifié par van der Heijde (vdH-S de 0 à 580) par rapport à sa valeur ini tiale. Dans les deux études, les caractéristiques initiales de la maladie étaient comparables, notamment le score total vdH-S, le nombre d'articulations gonflées et doulou reuses et la CRP. Les données présentées indiquent des différences significatives du score total vdHS avec les deux doses d'ustekinumab par rapport au placebo à la semaine 24 et ce bénéfice était maintenu/amplifié déjà la semaine 52. Chez les patients du bras placebo qui ont ensuite reçu l'ustekinumab 45mg (soit à la semaine 16 pour renforcement précoce, soit comme prévu par le protocole à la semaine 24), un ralentissement de la progression radiographique a été constaté à la semaine 52 (Figure 3). L'évaluation portant sur la seule étude PSUMMIT 1 donne des résultats similaires à ceux de l'analyse globale, l'effet d'épargne articulaire de l'ustekinumab n'a en revanche 2 a été évaluée seule, ce que les investigateurs mettent sur le compte du nombre important de données manquantes, en particulier chez les sujets du bras placebo (23% de clichés manquants). spéficiée intégrant les données des deux études montre que l'ustekinumab ralentit la progression radiographique à 24 semaines chez les sujets des bras ustekinumab. La question à 1.000 dollars est l'impact clinique d'un gain radiographique d'un demi point sur une période de 6 mois. un ESSai cliniquE ProSPEctiF peu. Il s'agit d'une affection fibro-inflammatoire qui touche de nombreux organes. Un essai pilote concernant le rituximab est mené en ouvert dans deux centres américains. Les résultats obtenus sur 26 patients ont été présentés. Le diagnostic de maladie à IgG4 devait être confirmé par la mise en évidence de plus de 10 cellules IgG4 + par champ (coloration par immunoperoxydase) et une histopatholo gie montrant au moins deux des trois principales carac téristiques (infiltration lymphoplasmocytaire, fibrose et phlébite oblitérante). hange fr |