![]() PHOTODYNAMIQUE deux grandes catégories, à savoir les indications approuvées et les indications émergentes. veau de preuve) pour les kératoses acti- niques, la chéilite actinique, la maladie de Bowen, le carcinome basocellulaire superficiel et le carcinome basocellulaire nodulaire. de meilleurs résultats avec un traitement séquentiel, en commençant par une MAL-PDT (methyl aminolevulinate pho- todynamic therapy), suivie d'une crème imiquimod 5%. l'option privilégiée pour traiter les lésions situées dans des régions à faible poten- tiel de cicatrisation ou les grandes lésions situées dans des régions à haut potentiel de cicatrisation. perficiel deux nouveaux traitements après 3 mois si l'examen de contrôle révèle que les lé- sions n'ont pas encore totalement dispa- de deux semaines les deux traitements consécutifs, afin d'attendre que la cica- trisation soit déjà plus avancée et que les croûtes soient moins abondantes, ce qui facilite le traitement. Toutefois, le risque de récidives augmente en cas d'intervalle plus long entre les deux traitements! dulaire situées dans la zone H du visage, on opte systématiquement pour la chirurgie. En revanche, la PDT peut être indiquée pour les patients présentant un CBC naevoïde (syndrome de Gorlin-Goltz). cutané non mélanomateux Une séance unique de MAL-PDT permet de retarder l'apparition de nouvelles lé- sions. prévention des nouvelles lésions de KA (ralentissement significatif de l'apparition de nouvelles lésions) et prolongement du délai avant la transformation de la KA en carcinome spinocellulaire (chez les pa- tients greffés). Chez ces patients, on peut opter pour le schéma cyclique, autrement dit, deux séances initiales de PDT réali- d'une séance tous les trois mois. tionnées, la PDT peut également être envisagée dans le cadre du traitement des verrues des mains et des pieds, des verrues génitales et de la leish- maniose cutanée réfractaire séances de traitements hebdomadaires ou toutes les deux semaines; l'effet ob- tenu repose davantage sur la destruction tissulaire aspécifique et la dépopulation des macrophages que sur l'élimination des parasites). La photoréjuvénation peut également être ajoutée à cette liste: effet sur les ridules et l'hyperpigmenta- tion, avec amélioration de la production de collagène et augmentation de la pro- lifération épidermique. on retrouve également des dermatoses infectieuses et inflammatoires comme l'acné (recommandation de grade A) (le traitement est toutefois douloureux et il n'existe aucun consensus sur le proto- cole optimal), le lymphome T cutané localisé (recommandation de grade D). Indications plus rares basées sur des séries de cas incluant 5 patients ou plus: cicatrices hypertrophiques, lichen scléreux vulvaire, maladie de Darier, dermatite périorale, molluscum contagiosum, mycose superfi- cielle, psoriasis, sclérodermie localisée. cédé pour donner cinq exposés traitant chacun d'un aspect différent de la présentation de la D-PDT (daylight-PDT), douleurs et PDT et prise en charge du patient oncologique. |