21 septembre pour refuser le projet «Vivalia 2025» et exiger le maintien a étonné jusqu'aux organisateurs eux- mêmes (le collège et le conseil commu- nal d'Arlon). Ce sont en effet pas moins de 3.000 personnes qui ont défilé pour clamer leur rejet absolu de voir construire un nouvel hôpital «Centre-Sud» au milieu de nulle part, à Molinfaing, au croisement des autoroutes E411 et E25, condamnant le site d'Arlon à devenir polyclinique et... kots d'étudiants! Le succès a été d'autant plus total que les édiles d'Arlon ont été rejoints par la plu- part des bourgmestres et élus de tout le Sud-Luxembourg, mais aussi par d'actuels et anciens parlementaires. Toutes couleurs politiques confondues, ce qui équivaut à une gifle au président du cdH et bourg- mestre de Bastogne, Benoît Lutgen, et au ministre fédéral et président du PS luxem- bourgeois, Philippe Courard, qui appuyaient le projet de restructuration de l'offre de soins hospitaliers de l'intercommunale unique de la province. Un vice-président de Vivalia et bourgmestre de Tintigny, le libé- ral Benoît Piedboeuf, résume en quelques mots l'avis général: «le projet Molinfaing est définitivement enterré». incontournables très vite embrayé sur le refus catégorique du conseil médical de la clinique d'Arlon, présidé par le Dr Pascal Pierre, en souli- gnant qu'il était aberrant de priver d'un hôpital un bassin de vie de 110.734 per- sonnes et de risquer de casser ainsi les accords transfrontaliers avec des hôpitaux français. Sans oublier les énormes efforts consentis pour la modernisation du site d'Arlon et le retour réussi à l'équi- libre budgétaire. «Arlon respecte d'ailleurs toujours l'équilibre financier, et fait même mieux, tandis que Marche et Bastogne restent dans le rouge», pointe ironique- ment Benoît Piedboeuf. points. En rappelant au préalable que «la proposition de la direction générale, et notamment la localisation à Molinfaing, a été faite sans concertation avec les méde- cins [d'Arlon et que] de ce fait, la confiance nécessaire à l'élaboration d'un projet com- mun entre Arlon, Libramont et Bastogne a été rompue, et la confiance du corps médi- cal dans la direction générale totalement brisée». du conseil médical. «Un hôpital qui se veut régional doit: être centré sur la zone la plus peuplée de la région, permettre d'éviter la concurrence du Grand-Duché, permettre un accès aisé et attrayant d'un point de vue des accord de coopération, être doté d'un plan de mobilité clair et détaillé entre autres en transports en commun, disposer d'un plan financier solide démontrant sa viabilité à terme et avoir un plan structurant pour la période intermédiaire, assurant notamment à Arlon l'accès immédiat à la cardiologie interventionnelle comme promis depuis 2000 et répété lors de l'entrée dans Vivalia.» cun de ces présupposés n'est contenu dans le rapport Vivalia 2025 qui fait du Sud- Luxembourg un désert médical.» Reste à voir les conséquences probables de ce fiasco prévisible. Beaucoup estiment que les «têtes pensantes» doivent en tirer des conclusions personnelles. des domaines extracellulaires des récepteurs de type 1 et 2 du VEGF (facteur de croissance de l'endothélium vasculaire) humain fusionnés au fragment Fc de l'IgG1 humaine, produite dans des cellules ovariennes K1 de hamster chinois (CHO) par la technique de l'ADN recombinant). uniquement être administré par injection intravitréenne. Eylea doit être administré uniquement par des médecins quali és, expérimentés dans l'administration d'injections intravitréennes. Posologie La dose recom- mandée d'Eylea est de 2 mg d'a ibercept, correspondant à 50 microlitres. A l'instauration du traitement, Eylea est injecté une fois par mois pendant 3 mois consécutifs suivi d'une injection tous les 2 mois. Il n'est pas nécessaire de réaliser des visites de suivi entre les injections. Après les 12 premiers mois de traitement par Eylea, l'intervalle entre deux injections peut être prolongé en fonction des résultats visuels et anato- miques. Dans ce cas, le calendrier de suivi doit être déterminé par le médecin administrant le traitement et ces visites de suivi peuvent être plus fréquentes que les injections programmées. Populations particulières Insuf sance hépatique et/ou rénal Aucune étude spéci que chez les patients atteints d'insuf sance hépatique et/ou rénale n'a été menée avec Eylea Les données actuellement disponibles ne suggèrent pas un besoin d'adaptation posologique d'Eylea chez ces patients . Patients âgé Aucune précaution particulière n'est nécessaire. Population pédiatrique La sécurité et l'ef cacité d'Eylea n'ont pas été établies chez les enfants et les adolescents. Il n'y a pas d'indication pertinente d'Eylea pour la population pédiatrique dans le cadre de la forme humide de la DMLA. Mode d'administration Les injections intravitréennes doivent être réalisées par un médecin quali é et expérimenté dans ce type d'injections, conformément aux bonnes pratiques et aux recommandations en vigueur. De façon générale, il est nécessaire d'assurer une anesthésie et des conditions d'asepsie adéquates, y compris par l'application d'un antibactérien local à large spectre (ex. povidone iodée sur la zone périoculaire, la paupière et la surface oculaire). La désinfection chirurgicale des mains, le port de gants stériles, l'utilisation d'un champ stérile et d'un spéculum à paupières stérile (ou équivalent) sont recommandés. L'aiguille pour injection doit être insérée 3,5-4,0 mm en arrière du limbe dans la cavité vitréenne, en évitant le méridien horizontal et en visant le centre du globe oculaire. Le volume de 0,05 ml peut alors être injecté ; un point d'injection scléral différent doit être utilisé lors des injections ultérieures. Immédiatement après l'injection intravitréenne, les patients doivent être suivis pour surveiller une possible élévation de la pression intraoculaire. Une surveillance appropriée consiste par exemple en une surveillance de la perfusion de la tête du nerf optique ou une tonométrie. Si nécessaire, un équipement stérile de paracentèse doit être disponible. Après l'injection intravitréenne, les patients doivent être informés qu'ils doivent signaler sans délai tout symptôme évocateur d'endophtalmie (ex. douleur oculaire, rougeur de l'oeil, photophobie, vision trouble). Chaque acon doit uniquement être utilisé pour le traitement d'un seul oeil. Le acon contient plus que la dose recommandée de 2 mg. Le volume extractible du acon (100 microlitres) ne doit pas être utilisé en totalité. Le volume excédentaire doit être éliminé avant l'injection. L'injection de la totalité du volume du acon pourrait entrainer un surdosage. Pour éliminer les bulles d'air avec le produit excédentaire, appuyer lentement sur le piston pour aligner la base cylindrique de l'extrémité en dôme du piston avec la ligne de dosage noire sur la seringue (équivalant à 50 microlitres c'est-à-dire 2 mg d'a ibercept). Après injection, tout produit non utilisé doit être éliminé. Pour la manipulation du médicament, voir la rubrique 6.6. Contre-indications Hypersensibilité à la substance active (a ibercept) ou à l'un des excipients mentionnés dans la rubrique 6.1. Infection oculaire ou périoculaire active ou suspectée. In ammation intraoculaire sévère active. Effets indésirables Résumé du pro l de tolérance Au total, 1 824 patients ont constitué la population sélectionnée pour l'évaluation du pro l de tolérance d'Eylea dans les deux études de phase 3 avec un maximum de 96 semaines d'exposition au médicament, parmi lesquels 1 223 patients ont été traités à la dose de 2 mg. Des effets indésirables graves liés à la procédure d'injection ont été observés dans moins de 1 injection intravitréenne d'Eylea sur 1 000. Ils incluaient une endophtalmie, une cataracte traumatique et une élévation passagère de la pression intraoculaire . Les effets indésirables les plus fréquents (chez au moins 5 % des patients traités par Eylea) étaient l'hémorragie conjonctivale (26,7 %), la douleur oculaire (10,3 %), le décollement du vitré (8,4 %), la cataracte (7,9%), des corps ottants vitréens (7,6 %) et l'élévation de la pression intraoculaire (7,2 %) Liste tabulée des effets indésirables Les données de sécurité décrites ci-dessous incluent tous les effets indésirables issus des études de phase III dans la forme humide de la DMLA sur une durée de 96 semaines avec une imputabilité possiblement liée à la procédure d'injection ou au médicament. Les effets indésirables ont été classés par classe de systèmes d'organes et par fréquence selon les règles suivantes : Très fréquent (1/10) : affections oculaires: hémorragie conjonctivale, douleur oculaire, fréquent (1/100 à <1/10) : affections oculaires: décollement de la rétine, déchirure de l'épithélium pigmentaire rétinien, décollement de l'épithélium pigmentaire rétinien, dégénérescence de la rétine, cataracte, cataracte nucléaire, cataracte sous-capsulaire, abrasion de la cornée, élévation de la pres- sion intraoculaire, vision trouble, corps ottants vitréens, oedème cornéen, décollement du vitré, douleurs au point d'injection, sensation de corps étrangers dans les yeux, augmentation de la sécrétion lacrymale, oedème de la paupière, hémorragie au site d'injection, hyperhémie conjonctivale, hyperhémie oculaire, peu fréquent (1/1 000 à <1/100) : affections du système immunitaire: hypersensibilité (incluant des réactions |