montrer l'intérêt du screening du cancer de la prostate après s'être basée sur les données de 9.952 hommes invités à bé- néficier tous les 2 ans d'un dosage du PSA, comparés à 9.952 contrôles. Pratiquement, 9 ans après la fin de ce programme, 173 cancers ont été diagnos- tiqués dans le groupe `dépistage' (le suivi moyen était de 4,8 ans) contre 371 dans le groupe `contrôle' pour un suivi moyen de 4,9 ans. La mortalité a également été supérieure dans le groupe contrôle (2,1 contre 1,54 décès/personne-année). cancer after termination of PSA based screening. Abstract#2. traiter. Une équipe sud-coréenne semble pourtant s'approcher d'une solution satisfaisante (p < 0,05) par la greffe de cellules souches mésenchymateuses implantées par le biais de mèches nanofibreuses à proximité des nerfs caverneux blessés. Du moins sur modèle murin, démontrant ainsi la capacité de ces cellules souches de se différentier en cellules de type neuronal. cells cultivated on the surface of nanofibrous meshes in rats with cavernous nerve injury. Abstract##325. 21.210, pour lesquels un taux de PSA 3mg/ml impliquait une biopsie), soit d'un suivi classique (n = 21.166) pour un cancer de la prostate. Après un suivi d'une durée de 12,8 ans, les patients bénéficiant du dépistage ont vu une réduction relative de 16% du risque de cancer de la prostate de la prostate déroulé cette année à Milan, du 15 au 19 mars. Voici déjà quelques informa- tions glanées pour vous lors du congrès. Vous en trouverez d'autres sur le site www.andrologic.be |