complication majeure. Deux cas d'hé- morragie postopératoire ont été ob- servés. Dans le premier, l'hémorragie est survenue à J2, en raison d'un tro- cart qui avait lésé l'artère épigastrique. Le deuxième cas de saignement est survenu à J4, sur une hystérectomie. Enfin, une patiente a présenté, à J15, une infection par germe anaérobie sur la plaque postérieure. 3 jours en moyenne. clinique chez 145 patientes. Septante- satisfaites à 3 mois et 92% à 1 an. cités techniques qui améliore son attention lors des gestes chirurgicaux très délicats. Pour le patient copie sont encore accrus: perte san- guine moindre, suites opératoires allégées, nette diminution de la douleur, amélioration de la récu- cence raccourcie. gie mini-invasive correspondent à des données statistiques, avec les limites que cela comporte: les complications sont moins fréquentes et la récupé- ration globale est meilleure, opératoire n'est évidemment pas complètement effacée pré-opératoires, saignement, infection, défaut de cicatrisation, embolie, etc). Les patients doivent donc en être par- faitement informés au préalable. 2. utérus 3. vagin 4. rectum 5. promontoire sacré 6. plancher pelvien (muscles releveurs de l'anus) 7. prothèse de suspension antérieure 8. prothèse de suspension `postérieure sée dans l'espace recto-vaginal, est fixée sur les muscles releveurs de l'anus, de part et d'autre du rectum, et aux ligaments utéro- sacré. Elle couvre ainsi toute la face postérieure du vagin. dans l'espace vésico-vaginal, couvre toute la paroi anté- rieure du vagin. seul temps de tous les organes prolabés (vessie, matrice, vagin, rectum, grêle). fixation utéro-vaginale laparoscopique. |