![]() vement meilleurs après 1, 2 et 3 ans et une meilleure capa cité vitale forcée après 1 an (p = 0,009), 2 ans (p = 0,02) et 3 ans (p = 0,004). La TCSH n'a entraîné aucune amélio ration significative de la capacité pulmonaire totale et de la capacité de diffusion du CO. En revanche, la capacité de diffusion moyenne du CO était significativement amélio rée chez les patients qui avaient présenté un échocardio gramme normal (p = 0,005) ou un ECG normal au départ (p = 0,05). mandations sur le dépistage cardiaque chez les patients atteints de sclérose systémique en vue d'une estimation correcte du risque lié au traitement sur la base de la struc ture, de la fonction et de l'électrophysiologie du coeur. traitement anti-TNF n'augmente pas le risque d'herpès zoster par rapport à un traitement non biologique. Telle est la conclusion d'une équipe de recherche américaine publiée dans le JAMA. conséquences majeures pour la santé publique. Vu la pré dilection du virus pour les personnes âgées ou immuno déprimées, cette réactivation peut représenter une cause importante de morbidité, avec à la clé des problèmes de douleur, de dépression et d'invalidité de longue durée dus à la névralgie postherpétique. Par ailleurs, il est connu que l'herpès zoster peut entraîner des complications graves, voire le décès en cas d'immunodépression. Chez les patients atteints de PR, le risque d'infection par le virus herpès zoster est deux à trois fois plus élevé que chez les autres personnes du même âge. Il existe peu d'in formations disponibles sur la contribution éventuelle des immunosuppresseurs biologiques à l'élévation du risque. Ces traitements, parmi lesquels les antiTNF, ont déjà été associés à un risque accru de tuberculose et d'autres infec tions opportunistes. Dans le contexte du «Safety Assessment of Biologic Therapy», une initiative américaine pour l'évaluation de la sécurité des produits biopharmaceutiques, Kevin Winthrop et ses collègues ont analysé une vaste cohorte rétrospective. Cette cohorte combine les données de quatre grandes banques de données américaines consa crées à l'évaluation de la prévalence de l'herpès zoster chez des personnes atteintes de différentes maladies in flammatoires. Concrètement, Winthrop et son équipe ont cherché à savoir si l'initiation d'un traitement antiTNF entraînait une augmentation du risque d'herpès zoster, et si les anticorps monoclonaux infliximab et adalimumab nercept. Chez les nouveaux utilisateurs d'antiTNF (n = 33.324), les chercheurs ont constaté 310 infections par le virus herpès zoster (12,1/1.000 années-patients pour la PR; 11,3/1.000 années-patients pour les maladies intes tinales inflammatoires et 4,4/1.000 années-patients pour le psoriasis, l'arthrite psoriasique et la spondylite ankylo sante). L'utilisation de corticoïdes ( 10mg/jour) en dé but de traitement antiTNF a été associée à un risque plus élevé que la nonutilisation pour les différents tableaux cliniques (hazard ratio 2,13; intervalle de confiance 95% 1,64 2,75). Chez les patients atteints de PR, l'incidence corrigée était comparable en cas d'instauration d'un trai tement antiTNF et d'un traitement non biologique, ainsi que pour les trois antiTNF étudiés. Les auteurs concluent que chez les patients atteints de PR ou d'autres affections inflammatoires, le risque d'herpès zoster n'est pas plus important lors de l'instauration d'un traitement antiTNF que lors de l'instauration d'un trai tement non biologique. myeloablative haemopoietic stem-cell transplantation with unselected autologous peripheral blood for patients with systemic sclerosis: a retrospective analysis. lancet 2013;381:1116-24. factor therapy and the risk of herpes zoster. Jama 2013;309:887-95 |