![]() thérapie est autorisée. - Souvent, ces options ne sont pas abordées avec la hope.be) est actuellement en cours de construction sous l'égide de Pink Ribbon et de la Fondation Roi Baudouin. Ce site sera accessible en octobre 2013 et proposera des informations à l'attention des patientes. iatrogène. 6,3% des enfants qui reçoivent une chimiothéra- pie développent une IOP aiguë pendant la phase de suivi, et 8% en développent une plus tard. Chez les enfants qui ont reçu une greffe de moelle osseuse, le risque d'IOP est élevé. ment est peu uniforme. L'incidence de l'IOP est faible et les études la concernant doivent avoir une longue période de suivi. Dès lors, il est logique qu'il y ait peu d'études de qualité. nèse personnelle et familiale. En plus de déterminer le profil hormonal, il convient de doser les anticorps anti- thyroïdiens, anti-ovariens et anti-surrénaliens. Un caryo- typage et un examen pour l'X fragile (si la femme a moins de 40 ans) doivent également être effectués. Il convient en outre de réaliser une échographie pelvienne afin de déter- miner le volume ovarien et de compter les follicules an- traux. Une densitométrie osseuse est utile, de même qu'un dosage de l'AMH pour évaluer la réserve ovarienne. Une fois tous ces examens effectués, la femme devrait être incluse dans un registre central. Nick Panay exhorte vivement les patientes à s'inscrire son site, www.nickpanay.com. est souvent posé tardivement. Les principaux symptômes sont les suivants: - 60%: bouffées de chaleur; - 40%: transpiration excessive; - 20%: sécheresse vaginale; - 20%: dépression; - 20%: fatigue. iatrogène sont relativement comparables. Toutefois, il est clair qu'en cas de causes iatrogènes, les symptômes sont en moyenne 10% plus prononcés. Il convient égale- ment de noter que chez les jeunes femmes de moins de 20 ans qui présentent une IOP, la sécheresse vaginale, la fatigue et les troubles de l'humeur sont beaucoup moins prononcés. gènes constitue le traitement de première intention. Les objectifs de la thérapie hormonale sont les suivants: pour- suite du développement des caractéristiques sexuelles secondaires, atténuation des symptômes, prévention des conséquences à long terme, possibilité d'implanter des embryons de donneuses. Un progestatif devra bien en- tendu être intégré au traitement si l'utérus est toujours présent. ans, qui présentent une IOP courent un risque supérieur de maladies cardiovasculaires. Elles sont également plus susceptibles de développer de l'ostéoporose et des pro- blèmes affectifs. Globalement parlant, les doses prescrites doivent être relativement élevées. Trois à quatre doses de gel d'estrogènes sont indiquées. La valeur visée est un taux d'estrogènes en milieu de cycle. En principe, la pilule est superflue, mais les pilules contraceptives contenant un es- trogène naturel pourraient peut-être se révéler utiles pour contrer une reprise occasionnelle de la fonction ovarienne. Chez les femmes qui se plaignent de fatigue et de perte de libido, les androgènes sont parfois utiles. Un demi-sachet de gel de testostérone peut aider. - diminution de l'espérance de vie (deux ans en moins l'insuline, lipides plus élevés, augmentation du risque d'ostéoporose; 38 ans; - Nombreux problèmes à court et à long termes chez les |