![]() 10.000 femmes, dont 1 sur 20 a moins de 40 ans. Il ressort d'une étude américaine (Partridge tive éventuelle de devenir stériles à la suite du traitement adjuvant. Les femmes de moins de 40 ans sont également celles qui vivent le plus mal l'asymétrie post-opératoire rapie n'a aucune conséquence négative sur les gonades, contrairement à la chimiothérapie, qui a un impact majeur sur ces dernières ( les cellules de la granulosa, et ainsi conduire à un dérègle- ment des cycles ainsi qu'à une ménopause précoce. L'in- fertilité n'est pas forcément associée à une aménorrhée. Le traitement antihormonal adjuvant a une utilité avérée dans le cadre des tumeurs ER+. L'inconvénient, c'est que la patiente est alors obligée d'attendre 5 ans avant de pou- voir tomber enceinte. La récupération d'ovocytes et leur vitrification sont des techniques validées. Le prélèvement de tissu ovarien est possible à un âge jeune et ne requiert aucune stimulation des ovaires. Le prélèvement d'ovo- cytes dans les follicules antraux suivi de leur maturation in vitro est une autre technique qui ne nécessite pas de stimulation ovarienne. Les ovocytes peuvent être extraits à n'importe quel moment du cycle. est-elle envisageable? La littérature à ce sujet est relative- ment abondante ( femmes avec une atteinte axillaire qui tombent enceintes peu après le traitement. la grossesse, le traitement administré dépend de la durée combination regimen. Mignot, 1986 Ariel, 1989 Sankila, 1994 Malamos, 1996 Lethaby, 1996 Velentgas, 1999 Birgisson, 2000 Gelber, 2001 Blakely, 2004 Mueller, 2003 Ives, 2007 Kroman, 2008 Largillier, 2009 0.86 (0.34-2.18) 0.85 (0.55-1.33) 0.21 (0.10-0.45) 0.55 (0.39-0.77) 0.78 (0.58-1.05) 0.80 (0.30-2.30) 0.54 (0.25-1.13) 0.44 (0.21-0.96) 0.47 (0.27-0.82) 0.54 (0.41-0.71) 0.59 (0.37-0.95) 0.73 (0.54-0.99) 0.23 (0.10-0.52) |