![]() périence personnelle que le Dr Philip Loquet (Antwerpen) rappelle que les adolescentes, en très grande majorité nul- lipares, ont des besoins différents des femmes plus âgées: leurs règles sont moins régulières et dans une atmosphère plus hyperandrogénique. Leurs motivations sont diffé- rentes et elles sont plus concernées par des problèmes de poids. De plus, leur utérus est anatomiquement différent, plus étroit et avec un ostium plus serré. ficulté dans 80% des cas, l'utilisation d'un dilatateur et/ ou de misoprostol étant rarement nécessaire (7% contre 4% chez les femmes plus âgées) (1). Dans son expérience personnelle, le taux de continuation du LNG-IUS est excellent, ce qui est confirmé par la littérature. Celle-ci fait fets secondaires similaire à celui des multipares (2). Le seul problème qu'il ait rencontré chez les nullipares de moins de 20 ans est une augmentation d'incidence de l'acné. Cet effet secondaire cutané est une cause majeure d'arrêt, au même titre que les saignements. chez 12 à 30% des utilisatrices de LNG-IUS, signale le Dr Françoise Walravens (CHU Charleroi). Ils surviennent en général dans les 3 mois qui suivent la pose de la CIU, et plus fréquemment chez les femmes qui présentent des saignements irréguliers. De taille variant de 3,5 à 6,5cm universités et associations scientifiques de gynécologie-obstétrique du pays, s'est réuni afin de dégager un consensus d'utilisation des dispositifs intra-utérins (DIU) chez la nullipare, qu'il s'agisse de dispositifs intra-utérins au cuivre (Cu-IUDs) |