ti aux traitements actuellement dispo- nibles avec les anti-TNF en tant que chefs de file depuis 1998, date de la première approbation de l'un d'entre eux.» depuis lors, leurs indications se sont étendues et les cibles identifiées se sont multipliées ( vait en 1988 le Prix Nobel de Médecine pour le développement de la 6-mercap- topurine dans les années `50... depuis, la recherche a multiplié les découvertes médiane en cas de cancer colorectal méta- statique de 5 mois dans les années `70 à plus de 25 mois aujourd'hui...» acquérir des titres de noblesse, la neuro- gastroentérologie a permis d'affiner les techniques diagnostiques au point de mettre aujourd'hui au rancart l'électro- gastrographie, la pHmétrie et la mano- métrie (pas toujours aisée à réaliser du fait de la rigidité de l'appareillage et de la mauvaise résolution spatiale, qui ne le sphincter oesophagien inférieur), grâce aux applications possibles de l'impédan- cemétrie et de la manométrie de haute résolution ( découvertes, ce qui est d'autant plus inté- ressant que certains prokinétiques ont dû être abandonnés du fait de leurs effets secondaires. progrès fabuleux effectués en endoscopie diagnostique et curative avec l'apport du laser en endothérapie. Ces techniques permettent aujourd'hui des actes aussi variés que l'hémostase pour saignement, les polypectomies, la résection de tu- meurs superficielles, les dilatations et le stenting, l'extraction de lithiases biliaires et pancréatiques, l'ablation d'un Bar- rett, le traitement de l'achalasie..., «au point que la vraie question aujourd'hui est de savoir quelles sont les limites de l'endoscopie!» NotES (Natural Orifice Transluminal Endoscopic Surgery) qui limite très fort l'invasivité du geste qui est appelée à modifier le paysage thérapeutique, «un paysage qu'il est difficile d'imaginer au- jourd'hui s'il nous fallait le décrire pour la 50 |