tion chez les enfants de TDAH et d'un QI bas (6). gie, nous avons pointé particulièrement le travail de Benoilid (7) consacré aux névrites optiques (souvent associées à des maladies inflammatoires) récidivantes, en distinguant un mode chronique (Crion) ou rémittent (Rion). Les auteurs ont suivi pendant 8 ans une cohorte de 62 patients (sex ratio F/H de 3/1), démontrant une névrite optique récidivante, avec au moins 3 mois d'intervalle, sans autre atteinte neurologique ni diagnostic étiologique. Ils retiennent que 20% risquent d'évoluer vers une sclérose en plaques (en raison d'anomalies typiques en IRM cérébrale et bandes oligo- clonales au niveau céphalo-rachidien); 10% vers une neuromyé- lite optique en raison d'IgG anti-NMO et une atteinte sévère de névrite optique; enfin 70% de forme idiopathique se divisent en «Rion» à rechute mais de bon pronostic et les «Crion» progressifs de pronostic visuel plus réservé. veauté organisationnelle, consistant non seulement en la sélection journalière de 10 posters plus méritants, mais aussi à leur présen- tation, lors du temps de midi, au milieu de la salle des posters, où une mini-salle de conférence est montée avec un écran devant pathique et moins austère que dans un grand auditorium! de collègues niçois (8), concluant que l'oedème papillaire est une atteinte oculaire qui doit être recherchée devant toute baisse de l'acuité visuelle survenant rapidement après la mise en route d'un traitement par clozapine. Ceci est rarissime, mais la clozapine est aussi connue pour donner, tout aussi rarement, des crises oculogyres et des pigmentations oculaires. Meeus (Photos 4 et 5) démontre un tableau rarissime de stéréo- typies motrices droites (préhension et pédalage) secondaires à un large AVC sylvien droit (avec composante hémorragique dans ce striatum droit) mais déficit fonctionnel (en SPECT et |