rapport à d'autres pays en termes de financement des soins de santé? issus de la tradition du Commonwealth appliquent un système de financement des soins de santé par l'imposition. La gratuité des soins y est érigée en droit ab- solu. Dans ces pays, toucher à la gratuité des soins provoquerait des mouvements sociaux sans commune mesure avec ce que l'on peut parfois connaître chez nous. D'autre part, l'autre courant se greffe sur un axe rhénan, pris au sens large. J'y vois la France, l'Italie, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique. On y applique un système de financement des soins de santé par la fis- calité indirecte: ce sont les cotisations so- ciales qui alimentent le budget des soins de santé. Mais quel que soit le système, on y retrouve des traits communs: aucun n'autorise le libre prix des prestations de soins ou des médicaments.» défis qui attendent Amonis dans les prochaines années? importante d'incertitudes, pour nous et nos affiliés. Cela renforce l'importance de la pension complémentaire. Mais nous ne sommes pas épargnés par le contexte législatif. Le deuxième pilier reste tou- jours en tête du classement des produits qui procurent un avantage fiscal. Mais la taxation des capitaux à l'échéance a été revue à la hausse. De même, le précompte mobilier qui s'applique aux rentes de re- traite a également été augmenté. Nous déplorons en outre une taxe de solidarité supplémentaire qui a été instaurée sur les capitaux de pension libre complémentaire. Et ce n'est pas tout! A partir du 1 et d'engagement individuel de pension (EIP) seront également plus lourdement imposés si vous les percevez avant l'âge de la pension légale. Ces nouvelles taxes ne concernent que le deuxième pilier. Si on regarde le troisième pilier, on voit que l'avantage fiscal sur les cotisations a éga- lement été raboté, alors que la taxe d'as- surance a été revue à la hausse.» sable si on veut maintenir un niveau de vie décent après le départ à la pension. Le législateur prend des mesures pour en- courager les travailleurs à ne prendre leur pension qu'après une carrière complète de 45 années, mais c'est difficilement envisa- geable pour un médecin. Si on prend par exemple le cas d'un médecin, avec une rémunération de chef de service, qui pren- drait sa retraite après une carrière de 40 années, il se retrouverait avec une pension légale de l'ordre de 1.700 euros bruts par intenable. Il faut donc suivre la voie tracée par certains pays nordiques, qui consiste à renforcer la pension complémentaire du deuxième pilier. Vouloir à tout prix allonger les carrières entre par ailleurs en contradiction avec ce que l'on observe sur le terrain. De plus en plus de médecins se montrent attentifs à l'équilibre entre leur n'est plus rare de rencontrer des médecins qui ne consultent plus après 16h30 parce qu'ils souhaitent aller rechercher eux- mêmes les enfants à l'école. Et contrai- rement à ce qu'on pouvait croire il y a encore quelques décennies, ce phénomène ne touche pas que les femmes. Cette ap- proche du métier de médecin qui consacre lement dans le cadre des évolutions de la société. Mais, du coup, les cotisations so- ciales risquent de diminuer puisque nous travaillerons moins. Dans les auditoires de médecine aujourd'hui, une grande majori- té des étudiants sont des étudiantes. Cela implique des carrières plus courtes si l'on tient compte des congés de maternité. Le rôle d'Amonis sera aussi de réfléchir aux solutions à apporter à ce phénomène dans les prochaines années.» Breezhaler 300 microgrammes, poudre pour inhalation en gélules. COMPOSITION : Chaque gélule contient 150 microgrammes d'indacatérol sous forme de maléate d'indacatérol. La dose délivrée par l'embout buccal de l'inhalateur Onbrez Breezhaler est de 120 microgrammes d'indacatérol sous forme de maléate d'indacatérol - Chaque gélule contient 300 microgrammes d'indacatérol sous forme de maléate d'indacatérol. La dose délivrée par l'embout buccal de l'inhalateur Onbrez Breezhaler est de 240 microgrammes d'indacatérol sous forme de maléate d'indacatérol. INDICATIONS : Onbrez Breezhaler est indiqué en traitement bronchodilatateur continu de l'obstruction des voies respiratoires chez les patients adultes atteints de broncho pneumopathie chronique obstructive (BPCO). POSOLOGIE : Posologie : La dose recommandée est l'inhalation du contenu d'une gélule de 150 microgrammes une fois par jour à l'aide de l'inhalateur Onbrez Breezhaler. La posologie ne doit être augmentée que sur avis médical. L'inhalation du contenu d'une gélule de 300 microgrammes une fois par jour à l'aide de l'inhalateur Onbrez Breezhaler peut apporter un béné ce clinique supplémentaire pour diminuer l'essouf ement, en particulier chez les patients atteints de BPCO sévère. La dose maximale préconisée est de 300 microgrammes une fois par jour. Onbrez Breezhaler doit être administré quotidiennement à heure xe dans la journée. En cas d'omission d'une dose, la dose suivante doit être prise à l'heure habituelle le lendemain. Patients âgés : La concentration plasmatique maximale et l'exposition sys témique totale augmentent avec l'âge mais il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients âgés. Population pédiatrique : Il n'y a pas d'utilisation justi ée d'Onbrez Breezhaler dans la population pédiatrique (en dessous de 18 ans). Insuf sance hépatique : Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients présentant une insuf sance hépatique légère à modérée. Il n'existe pas de données concernant l'administration d'Onbrez Breezhaler chez les patients atteints d'insuf sance hépatique sévère. Insuf sance rénale : Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients présentant une insuf sance rénale. Mode d'admi nistration : Voie inhalée. Les gélules Onbrez Breezhaler doivent être administrées en utilisant uniquement l'inhalateur Onbrez Breezhaler. Les gélules Onbrez Breezhaler ne doivent pas être avalées. CONTRE- INDICATIONS : Hyper sensibilité à la substance active, au lactose ou à l'un des autres excipients. EFFETS INDESIRABLES : Synthèse du profi l de sécurité d'emploi : Les effets indésirables les plus fréquents aux doses recommandées ont été : rhinopharyngite (14,3 %), infections respiratoires hautes (14,2 %), toux (8,2 %), céphalées (3,7 %) et contractions musculaires (3,5 %). Dans la plupart des cas, ils ont été d'intensité légère ou modérée et leur fréquence diminuait avec la poursuite du traitement. Aux doses recommandées, le pro l d'effets indésirables d'Onbrez Breezhaler chez les patients atteints de BPCO montre des effets systémiques sans répercussions cliniques signi catives de la stimulation des récepteurs bêta 2 adrénergiques. Les modi cations de la fréquence cardiaque ont été en moyenne inférieures à une pulsation par minute et les cas de tachycardie ont été peu fréquents et rapportés à une incidence comparable à celle observée avec le placebo. Il n'a pas été détecté d'allongements signi catifs de l'intervalle QTcF par rapport au placebo. La fréquence d'intervalle QTcF notable [soit > 450 ms chez les hommes et > 470 ms chez les femmes] et les cas d'hypokaliémie ont été comparables à ceux observés sous placebo. Les variations maximales de la glycémie ont été en moyenne comparables avec Onbrez Breezhaler par rapport au placebo. Tableau de synthèse des effets indé sirables : Le pro gramme de développement clinique de phase III d'Onbrez Breezhaler a été mené chez des patients ayant un diagnostic clinique de BPCO modérée à sévère. Au total, 4 746 patients ont été exposés à l'indacatérol pendant des durées allant jusqu'à un an à des doses représentant jusqu'à deux fois la dose maximale recommandée. Chez ces patients, 2 611 ont été traités avec 150 microgrammes une fois par jour et 1 157 avec 300 microgrammes une fois par jour. Environ 41 % des patients présentaient une BPCO sévère. L'âge moyen des patients était de 64 ans, 48 % d'entre eux étant âgés de 65 ans ou plus, et les patients étaient majoritairement caucasiens (80 %). Les effets indésirables sont présentés dans le tableau 1 selon la classi cation par classes d'organes MedDRA dans la base de données de sécurité d'emploi dans la BPCO. Au sein de chaque classe d'organes, les effets indésirables sont classés par fréquence en ordre décroissant selon la ( 1/1 000, < 1/100) ; rare ( 1/10 000, < 1/1 000 ; très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Tableau 1. Effets indésirables (Catégorie de fréquence) : Infections et infestations : Infection respiratoire haute (Fréquent) ; Rhinopharyngite (Fréquent) ; Sinusite (Fréquent). Affections du système immunitaire : Hyper- sensibilité Paresthésies (Peu fréquent). Affections cardiaques : Cardiopathie ischémique (Peu fréquent) ; Fibrillation auriculaire (Peu fréquent) ; Palpitations (Peu fréquent) ; Tachy cardie (Peu fréquent). Affections respiratoires, thoraciques et média stinales : Toux (Fréquent) ; Douleur oropharyngée incluant irritation de la gorge (Fréquent) ; Rhinorrhée (Fré quent) ; Bronchospasme paradoxal (Peu fréquent). Affections de la peau et du tissu sous-cutané : Prurit/éruption cutanée (Peu fréquent). Affections musculo-squelet tiques et sys témiques : Contractions musculaires (Fréquent) ; Myalgie (Peu fréquent) ; Douleur musculo-squelettique (Peu fréquent). Troubles généraux et anomalies au site d'administra tion : Douleur thoracique (Fréquent) ; OEdème périphérique (Fréquent). noti cations spontanées sans indication sur la population totale exposée ce qui rend impossible d'estimer avec précision la fréquence de survenue de cet effet indésirable. Ainsi, la fréquence de survenue présentée est calculée à partir des données des essais cliniques. Description des effets indésirables sélectionnés : Dans les études cliniques de phase III, les professionnels de santé ont observé lors des visites cliniques que 17 à 20 % des patients en moyenne présentaient une toux sporadique qui survenait habituellement dans les 15 secondes suivant l'inhalation et qui durait généralement 5 secondes (environ 10 secondes chez les fumeurs). Sa fréquence était plus élevée chez les femmes que chez les hommes et chez les fumeurs que chez les anciens fumeurs. En général, cette toux suivant l'inhalation a été bien tolérée et n'a entraîné la sortie prématurée d'aucun patient des études menées aux doses recommandées (la toux est un symptôme de la BPCO et 8,2 % seulement des patients ont rapporté une toux en tant qu'événement indésirable). Il n'existe pas de données indiquant que la toux survenant après l'inhalation soit associée à un bronchospasme, à des exacerbations, à une aggravation de la maladie ou à un manque d'ef cacité. TITULAIRE ET NUMERO D'ENREGISTREMENT : Novartis Europharm Limited - Wimblehurst Road - Horsham - West Sussex, RH12 5AB - Royaume-Uni - EU/1/09/593/001-005 - EU/1/09/593/006- 010. DELIVRANCE : Prescription médicale. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE : 26/07/2012. de l'obstruction bronchique chez les patients adultes souffrant de BPCO. La dose recommandée est l'inhalation du contenu d'une gélule à 150 microgrammes une fois par jour à l'aide de l'inhalateur Onbrez® Breezhaler®. N'augmenter la dose que sur avis médical. La dose maximale est de 300 micro grammes, une fois par jour. Onbrez® Breezhaler® ne doit pas être utilisé lors d'asthme en raison de l'absence de données concernant les résultats à long terme avec Onbrez® Breezhaler® dans l'asthme. Veuillez-vous référer à la RCP pour avoir des informations complémentaires. long terme. |