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Le Spécialiste
12-9
7 novembre 2012
www.lespecialiste.be
Résultat d'exploitation négatif
pour 1 hôpital sur 4
L'étude Maha révèle aussi que, en moyenne,
le résultat d'exploitation courant (structurel)
est en recul, mais que le résultat final est en
hausse grâce à l'augmentation des produits
exceptionnels. «La hausse un peu plus
importante des charges de rémunération par
rapport au chiffre d'affaires explique le léger
recul du résultat d'exploitation courant (avant
résultat exceptionnel), en termes relatifs,
de 1,2% à 1,1% du chiffre d'affaires. Parmi les
99 institutions, 26 ont enregistré un résultat
d'exploitation courant négatif. En 2008,
elles étaient 20 dans ce cas. Enfin, le résultat
exceptionnel est en nette augmentation
(+29 millions d'euros), grâce à l'attribution
d'importants montants de rattrapage
du passé, dont disposaient encore les hôpitaux
(révision jusqu'à l'exercice 2006), ce qui a
permis d'améliorer le résultat final, qui est
passé d'1,3% à 1,5% du chiffre d'affaires.
Des montants de rattrapage importants sont
encore attendus par le secteur durant les
prochaines années, car les indemnités allouées
aux hôpitaux ces dernières années dans le
cadre des accords sociaux étaient insuffisantes.
Avec l'entrée en vigueur complète du nouveau
système de financement des hôpitaux,
les révisions réalisées à partir de l'exercice
2007 (prochaine révision) devraient par contre
entraîner une réduction des autres montants
de rattrapage.»
En ce qui concerne le résultat final des
hôpitaux, on note depuis 2008 une
augmentation du nombre d'hôpitaux dans le
rouge (voir graphique en couverture). Ils étaient
18 en 2010, ils sont désormais 15 en 2011.
Plus de 90.000 emplois
L'enquête Maha révèle que le secteur
des hôpitaux généraux emploie
91.447 ETP. Ce chiffre n'inclut pas les
médecins (à l'exception de quelques
hôpitaux généraux à caractère
universitaire). Ces derniers ont en
effet un statut d'indépendant au sein
des hôpitaux généraux et ne sont
donc pas repris dans les payrolls des
hôpitaux. En 2011, le nombre d'ETP a
augmenté de 2,03%, soit 1.815 ETP.
1.
DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT :Amlor 5 mg et 10mg gélules 2.COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE : Chaque gélule contient du bésilate
d'amlodipine équivalent à 5 mg d'amlodipine. Chaque gélule contient du bésilate d'amlodipine équivalent à 10 mg d'amlodipine. Excipients : Pour la liste complète
des excipients, voir rubrique 6.1.
3.FORME PHARMACEUTIQUE Gélule. 5 mg gélules : gélule jaune et blanche portant l'impression noire AML 5 sur une face
et le logo Pfi zer sur l'autre face. 10 mg gélules : gélule grise portant l'impression noire AML 10 sur une face et le logo Pfi zer sur l'autre face.
4.1 Indications
thérapeutiques : Hypertension Angor chronique stable Angor vasospastique (syndrome de Prinzmetal) 4.2 Posologie et mode d'administration Posologie
Adultes Pour l'hypertension et l 'angor, la posologie initiale habituelle est de 5 mg de Amlor une fois par jour, qui peut être augmentée jusqu'à une posologie
maximale de 10 mg en fonction de la réponse individuelle du patient. Chez les patients hypertendus, Amlor a été utilisé en association avec un diurétique
thiazidique, un alphabloquant, un bêtabloquant ou un inhibiteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine. Dans l'angor, Amlor peut être utilisé en monothérapie
ou en association avec d'autres antiangineux chez les patients présentant un angor réfractaire aux dérivés nitrés et/ou à des doses adéquates de bêtabloquants.
Aucun ajustement posologique de Amlor n'est nécessaire lors de l'administration concomitante de diurétiques thiazidiques, de bêtabloquants et d'inhibiteurs de
l'enzyme de conversion de l'angiotensine.Populations particulières Sujets âgés Amlor utilisé à des doses similaires montre une bonne tolérance équivalente chez
les patients âgés et les patients plus jeunes. Des schémas posologiques normaux sont recommandés chez les sujets âgés, mais une augmentation de la posologie
doit être effectuée avec précaution (voir rubriques 4.4 et 5.2).Insuffi sance hépatique. Les recommandations de posologie n'ont pas été établies chez les patients
atteints d'insuffi sance hépatique légère à modérée, la dose doit donc être choisie avec précaution et doit démarrer à la dose effi cace la plus faible (voir rubriques
4.4 et 5.2). Les propriétés pharmacocinétiques de l'amlodipine n'ont pas été étudiées en cas d'insuffi sance hépatique sévère. L'amlodipine doit être débutée à la
dose la plus faible et augmentée lentement chez les patients atteints d'insuffi sance hépatique sévère. Insuffi sance rénale Les changements des concentrations
plasmatiques d'amlodipine ne sont pas corrélés avec le degré d'insuffi sance rénale, une posologie usuelle est donc recommandée. L'amlodipine n'est pas
dialysable.Enfants et adolescents Enfants et adolescents hypertendus de 6 ans à 17 ans. La posologie antihypertensive orale recommandée chez les enfants âgés
de 6 à 17 ans est de 2,5 mg une fois par jour comme dose initiale, qui peut être augmentée jusqu'à 5 mg une fois par jour si la pression artérielle souhaitée n'est
pas atteinte après quatre semaines. Des posologies supérieures à 5 mg une fois par jour n'ont pas été étudiées chez les patients pédiatriques (voir rubriques 5.1
et 5.2). Une posologie d'amlodipine de 2,5 mg n'est pas possible avec ce médicament. Enfants de moins de 6 ans.Il n'existe pas de donnée disponible. Mode
d'administration Gélule pour administration orale.4.3
Contre-indications L'amlodipine est contre-indiquée chez les patients présentant: · Une hypersensibilité
aux dérivés de la dihydropyridine, à l'amlodipine ou à l'un des excipients. · Une hypotension sévère. · Un choc (y compris choc cardiogénique).· Une obstruction
de la voie d'éjection du ventricule gauche (par exemple, sténose aortique de degré élevé).· Une insuffi sance cardiaque hémodynamiquement instable après un
infarctus aigu du myocarde. 4.8
Effets indésirables Résumé du profi l de sécurité Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés en cours de traitement
sont des somnolences, des sensations vertigineuses, des céphalées, des palpitations, des bouffées vasomotrices, des douleurs abdominales, des nausées,
des oedèmes des chevilles, des oedèmes et de la fatigue. Liste des effets indésirables Les effets indésirables suivants ont été observés et rapportés au cours du
traitement par l'amlopidine selon les fréquences suivantes : très fréquent (
1/10) ; fréquent ( 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent ( 1/1 000 à 1/100) ; rare ( 1/10 000
à
1/1 000) ; très rare (1/10 000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de sévérité décroissante. Leucocytopénie,
thrombocytopénie :très rare, Réaction allergique : très rare, Hyperglycémie :très rare, Insomnie, changement de l'humeur (y compris anxiété), dépression : peu
fréquent, Confusion : rare, Somnolence, sensation vertigineuse, céphalée (en particulier au début du traitement) : fréquent, Tremblement, dysgueusie, syncope,
hypoesthésie, paresthésie : peu fréquent, Hypertonie, neuropathie périphérique :peu fréquent, Trouble visuel (y compris, diplopie) : peu fréquent, Acouphène :peu
fréquent, Palpitations : fréquent, Infarctus du myocarde, arythmie (y compris bradycardie, tachycardie ventriculaire et fi brillation auriculaire) : très rare, Bouffée
vasomotrice : peu fréquent, Hypotension : peu fréquent, Vascularite :très rare, Dyspnée, rhinite : peu fréquent, Toux :très rare, Douleur abdominale, nausée :
fréquent, Vomissement, dyspepsie, troubles du transit (y compris diarrhée et constipation), sécheresse buccale : peu fréquent, Pancréatite, gastrite, hyperplasie
gingivale :très rare, Hépatite, ictère, élévation des enzymes hépatiques * : très rare, Alopécie, purpura, changement de coloration cutanée, hyperhidrose, prurit,
éruption cutanée, exanthème : peu fréquent, Angio-oedème, érythème polymorphe, urticaire, dermite exfoliante, syndrome de Stevens-Johnson, oedème de
Quincke, photosensibilité :très rare, OEdèmes des chevilles :fréquent, Arthralgie, myalgie, crampe musculaire, douleur dorsale :peu fréquent, Trouble de la miction,
nycturie, augmentation de la fréquence urinaire :peu fréquent, Impuissance, gynécomastie :peu fréquent, OEdème, fatigue :fréquent, Douleur thoracique, asthénie,
douleur, malaise :peu fréquent, Augmentation du poids, diminution du poids :peu fréquent,* Évoquant généralement une choléstase Des cas exceptionnels
de syndrome extrapyramidal ont été rapportés.
7.TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ PFIZER SA, Boulevard de la Plaine 17,
1050 Bruxelles, Belgique.
8. NUMÉRO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ Gélules à 5 mg: BE148041 Gélules à 10 mg:BE148303 9.DATE
DE PREMIÈRE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L'AUTORISATION A. Date de première autorisation: 07/07/1989 B. Date de renouvellement de
l'autorisation: 08/12/2003
10. DATE DE MISE À JOUR DU TEXTE 03/2012 / MODE DE DELIVRANCE: SUR PRESCRIPTION MEDICALE
5 mg x 28 gélules
12,00
5 mg x 56 gélules
16,63
5 mg x 98 gélules
25,67
10 mg x 30 gélules
17,51
10 mg x 100 gélules
37,74
L
OEX12F0014479-10/2012
Nouveau:
AMLOR 5 mg x
98
1,2 milliard investi
dans la brique
En 2011, les hôpitaux généraux
ont procédé à des investissements
à hauteur d'1,2 milliard d'euros
(+9,01%). L'augmentation est
en grande partie due à des
investissements dans des projets
(nouvelles constructions) plus
importants. Il suffit de visiter
quelques hôpitaux pour se rendre
compte qu'ils ont (presque) tous un
grand chantier de construction en
cours.
Le niveau des investissements est
pratiquement identique en Flandre,
en Wallonie et à Bruxelles. Les experts
de Belfius ne notent pratiquement
pas de différence non plus entre le
volume des investissements dans les
hôpitaux publics et privés. «L'analyse
du bilan permet de déduire que les
investissements ont été financés
en premier lieu par des dettes
financières à long terme, contractées
auprès des établissements de crédit
(+9,8%). Les institutions ont aussi
à nouveau fortement recouru à
l'autofinancement. Le cash-flow libre
réalisé par le secteur (490 millions
d'euros) a été utilisé dans une large
mesure en vue de cet autofinancement
(
± 400 millions d'euros)»,
commentent les auteurs de l'étude.
Par ailleurs, les hôpitaux ont
fortement augmenté leurs provisions
pour face à la problématique des
pensions, à laquelle sont surtout
confrontés les hôpitaux publics.
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