background image
10
I
Le Spécialiste
12-9
7 novembre 2012
www.lespecialiste.be
L
es Pr Philippe Mairiaux et Isabelle
Hansez, auteurs de l'étude, se sont
également intéressés aux indicateurs
de santé pouvant être les signes précurseurs
potentiels de situation d'épuisement
professionnel, voire de burn-out.
En moyenne, le temps de travail des
répondants (78,5% de sexe masculin et âgés
en moyenne de 47,8 ans) est considérable:
37% travaillent plus de 60 heures/semaine
et 42% plus de 10 heures/jour. 29% à peine
s'accordent toujours un jour sans travail par
semaine.
60% des répondants ne pratiquent aucune
activité physique régulière durant les loisirs.
Un constat qu'il faut relativiser, parce que
la proportion des dirigeants d'entreprises
ayant une pratique physique régulière est
systématiquement plus importante que celle
de la population wallonne!
La fréquence des problèmes de santé,
perçus ou éprouvés, est systématiquement
(beaucoup) plus élevée chez les dirigeants
que dans le reste de la population active.
«67,3% des dirigeants considèrent leur santé
bonne à très bonne (82% dans l'échantillon
belge de l'enquête européenne EWCS); 6,6%
s'estiment en mauvaise ou en très mauvaise
santé (1,7% seulement dans l'enquête
EWCS)»
, notent les auteurs.
Fatigués et souvent en surcharge
pondérale
Les cinq problèmes de santé les plus
couramment éprouvés par les dirigeants
durant l'année écoulée sont, par ordre
décroissant, une fatigue générale (74,7%),
des douleurs musculaires (74%), des maux
de dos (67,6%), des troubles du sommeil
(58,2%) et des maux de tête (47,8%). «Plus
d'un tiers des dirigeants sondés (36%) ont été
concernés par des problèmes de dépression
ou d'anxiété dans l'année écoulée, pour 9%
"seulement" dans la population belge!
Le surpoids caractérise aussi les dirigeants,
mais ce problème est pour l'essentiel masculin:
58,2% sont en surcharge pondérale
(IMC > 25) et 16,1% sont obèses (IMC > 30)»,
soulignent les auteurs.
Qu'est-ce qui stresse les indépendants? En
premier lieu, la charge de travail (46%), suivie
par les charges administratives (43%), les
problèmes de trésorerie et d'impayés (36 et
35%) et la gestion du personnel (34%).
Situation inquiétante
Pour les auteurs, «les résultats de l'enquête
dressent (...) un tableau relativement
inquiétant de la santé des dirigeants de PME:
ces dirigeants se perçoivent dans un état de
santé sensiblement plus défavorable que celui
d'un échantillon représentatif de la population
des travailleurs belges, et ils présentent une
prévalence élevée de problèmes de santé
ressentis au cours de l'année écoulée.»
Ces problèmes de santé et les situations de
stress font des dirigeants d'entreprises des
candidats de choix à l'épuisement et au
burn-out. Un dirigeant sur 5 présente des
signes précurseurs de burn-out et les données
montrent chez eux un score d'épuisement
professionnel qui est en moyenne supérieur
à celui des cadres d'entreprises. Les facteurs
motivationnels (en particulier "la passion du
travail") peuvent cependant jouer un rôle
protecteur contre le burn-out.
Les auteurs de l'étude recommandent
d'entreprendre des actions d'information
et de promotion de la santé dans le milieu
entrepreneurial.
Alexandre Thomasson
JS0219F
SANTÉ DES INDÉPENDANTS ET DES CHEFS D'ENTREPRISE
1 dirigeant sur 5
présente des signes
précurseurs de burn-out
Une enquête réalisée par l'ULg auprès de 1.000 indépendants
et dirigeants de PME a évalué l'état de santé et le stress de ces
professionnels. Elle pointe trois facteurs de dégradation de la santé
physique et mentale: l'insuffisance du nombre d'heures de sommeil,
l'absence d'une activité physique régulière durant les loisirs et
l'importance du nombre d'heures travaillées par semaine.
VOTRE ACTUALITÉ SOCIO-PROFESSIONNELLE
JS0219BF
PROMOTION DE LA SANTÉ
«Je ne consulte un
médecin que lorsque ma
banque l'exige»
Un site internet (www.7jsante.be) aide désormais les indépendants
et les entrepreneurs à mieux prendre soin de leur «capital santé».
L
'asbl Question Santé, en partenariat avec le Centre pour entreprises en difficulté (CEd)
et le Brussels entreprises commerce and industry (Beci), et avec l'aide de la Commission
communautaire française, a lancé fin octobre un projet de promotion de la santé pour
les indépendants et les chefs de petites entreprises bruxelloises. Le Pr Olivier Torrés, président
de l'Observatoire Amarok, estime que «la santé et le bien-être du dirigeant, qu'il soit artisan ou
commerçant, est le premier actif immatériel de son entreprise»
. Or, souvent, l'indépendant ou le
chef d'entreprise ne se préoccupe pas de sa santé parce qu'«il n'a pas le temps d'être malade»
ou il le fait pour de mauvaises raisons. Comme le disait avec humour l'entrepreneur Carl de
Moncharline lors d'un débat organisé pour le lancement de cette plateforme: «Je vois très sou-
vent mon médecin: dès que je veux obtenir un crédit auprès de ma banque.»
Les statistiques révèlent que 70% des entrepreneurs se rendent au moins une fois par an chez
leur médecin généraliste. «Ce qui signifie que près d'un entrepreneur sur trois ne fait pas le suivi
minimal qui s'impose à sa santé!»
, résume Olivier Torrés.
Un sondage réalisé par le Beci et le CEd a révélé que si 86% d'indépendants et de chefs
de petites entreprises bruxelloises reconnaissent le lien entre santé et vie professionnelle,
seulement près de la moitié tient compte de sa santé au quotidien. Un constat qui plaide pour
la mise sur pied d'un soutien spécifique. La plateforme «7 jours santé» s'est fixée pour objectif
de sensibiliser ces professionnels à l'importance du bien-être, des habitudes de vie favorables
à leur santé ainsi qu'à la performance et à la pérennité de leur entreprise. Elle veut aussi les
inciter à se préoccuper de la santé et du bien-être de leurs employés.
Informations validées
Plusieurs outils ont été créés à ces fins: un site internet, une brochure et des actions concrètes.
Le site internet présente des informations validées, utiles et pratiques à mettre en oeuvre au
quotidien, sur des thèmes tels que la gestion de l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle,
l'alimentation saine, l'activité physique et la mobilité. Ces conseils «classiques» n'étonneront pas
la plupart des internautes mais n'en sont pas pour autant plus faciles à suivre: faire 30 minutes
d'activité physique modérée par jour, boire 1,5 à 2 litres d'eau par jour, éviter d'utiliser la voiture
pour se déplacer... La brochure
«Votre bien-être, un atout pour
la santé de votre entreprise»

reprend également une série de
conseils. Un document qui pour-
rait intéresser certains de vos
patients. Ce livret est gratuit et
peut être commandé sur le site
internet de 7Jsanté.
En plus de ces informations,
les indépendants et entre-
preneurs bruxellois pourront
suivre durant l'année 2013 des
ateliers consacrés à la mobilité,
à l'alimentation et un accom-
pagnement physique et mental.
Ces différentes actions seront
menées en collaboration avec
des experts spécifiques. Les
membres de 7Jsanté pourront
également partager leurs expé-
riences et découvrir les témoi-
gnages d'autres indépendants et
chefs d'entreprises.
www.observatoire-amarok.net
A.T.
La brochure «Votre bien-être, un atout pour la santé
de votre entreprise» reprend une série de conseils.
Plus d'un tiers des dirigeants
sondés ont été concernés
par des problèmes de
dépression ou d'anxiété
dans l'année écoulée.
Victoza
®
6 mg/ml, solution injectable en stylo prérempli. Composition : 6 mg/ml de liraglutide (peptide analogue au glucagon-1
humain (GLP-1) ADNr). Un stylo prérempli contient 18 mg de liraglutide dans 3 ml.
Forme pharmaceutique : Solution injectable en stylo
prérempli (injection). Solution isotonique, incolore et limpide ; pH=8,15.
Indication : Victoza est indiqué dans le traitement du diabète de
type 2 de l'adulte pour obtenir un contrôle glycémique : en association avec : la metformine ou un sulfamide hypoglycémiant, chez les
patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat sous metformine ou sulfamide hypoglycémiant en monothérapie à la dose
maximale tolérée ou en association avec la metformine et un sulfamide hypoglycémiant ou la metformine et une thiazolidinedione chez
les patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat sous ces bithérapies.
Posologie et mode d'administration : Posologie :
Afi n d'améliorer la tolérance gastro-intestinale, le liraglutide sera initié à la dose de 0,6 mg par jour. Après au moins une semaine de
traitement, la dose devra être augmentée à 1,2 mg. En fonction de la réponse clinique, après au moins une semaine de traitement, certains
patients pourront être amenés à bénéfi cier d'une augmentation de la dose de 1,2 mg à 1,8 mg afi n d'obtenir un meilleur contrôle
glycémique. Une dose quotidienne supérieure à 1,8 mg n'est pas recommandée. Victoza peut être utilisé en association à un traitement
existant par metformine ou par une association de metformine et de thiazolidinedione. Le traitement par metformine et thiazolidinedione
peut alors être poursuivi à la même dose. Victoza peut être utilisé en association à un traitement existant par sulfamide hypoglycémiant
ou par une association de metformine et de sulfamide hypoglycémiant. Lorsque Victoza est associé à un traitement par sulfamide
hypoglycémiant, une diminution de la dose du sulfamide hypoglycémiant devra être envisagée afi n de réduire le risque d'hypoglycémie.
Une autosurveillance glycémique n'est pas nécessaire pour ajuster la dose de Victoza. Toutefois, lorsque Victoza est associé initialement
à un sulfamide hypoglycémiant, une autosurveillance glycémique pourra s'avérer nécessaire afi n d'ajuster la dose du sulfamide
hypoglycémiant. Populations particulières : Sujets âgés (> 65 ans) : aucun ajustement de la dose n'est nécessaire en fonction de l'âge.
L'expérience clinique de ce traitement chez les patients 75 ans est limitée. Patients présentant une insuffi sance rénale : aucun
ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffi sance rénale légère (clairance de la créatinine de 60 à 90
ml/min). L'expérience clinique de ce traitement chez les patients présentant une insuffi sance rénale modérée (clairance de la créatinine
de 30 à 59 ml/min) est très limitée et il n'y a pas d'expérience clinique de ce traitement chez les patients présentant une insuffi sance
rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min). Victoza ne peut être actuellement recommandé chez les patients
présentant une insuffi sance rénale modérée et sévère, y compris les patients présentant une insuffi sance rénale terminale. Patients
présentant une insuffi sance hépatique : l'expérience clinique de ce traitement chez les patients à tous les stades de l'insuffi sance
hépatique est actuellement trop limitée pour recommander une utilisation chez les patients présentant une insuffi sance hépatique légère,
modérée ou sévère. Population pédiatrique : la sécurité et l'effi cacité de Victoza chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans
n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. Mode d'administration : Victoza ne doit pas être administré par voie intraveineuse
ou intramusculaire. Victoza doit être administré une fois par jour, quel que soit le moment de la journée, indépendamment des repas.
Victoza peut être injecté par voie sous-cutanée dans l'abdomen, la cuisse ou le haut du bras. Le site d'injection et le moment de l'injection
peuvent être modifi és sans ajustement de la dose. Toutefois, il est préférable d'effectuer les injections de Victoza à peu près au même
moment de la journée, après avoir choisi l'heure la plus adaptée.
Contre-indications : Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des
excipients.
Effets indésirables : Dans 5 études cliniques de grande envergure et menées sur le long terme, plus de 2 500 patients ont
été traités, soit par Victoza seul, soit par Victoza en association à la metformine, à un sulfamide hypoglycémiant (avec ou sans metformine)
ou à la metformine associée à la rosiglitazone. Les effets indésirables le plus fréquemment observés pendant les études cliniques étaient
les affections gastro-intestinales : les nausées et les diarrhées étaient très fréquentes, alors que les vomissements, la constipation, les
douleurs abdominales et la dyspepsie étaient fréquents. Ces effets indésirables gastro-intestinaux peuvent survenir plus fréquemment en
début de traitement par Victoza. Ces réactions s'atténuent généralement en quelques jours ou quelques semaines avec la poursuite du
traitement. Les céphalées et les rhinopharyngites étaient fréquentes également. De plus, les hypoglycémies étaient fréquentes, voire très
fréquentes lorsque Victoza était associé à un sulfamide hypoglycémiant. Les cas d'hypoglycémie majeure ont principalement été observés
en cas d'association à un sulfamide hypoglycémiant. Les effets indésirables identifi és lors des études de phase 3 réalisées avec Victoza
utilisé en association sont présentés ci-dessous. Il s'agit des effets indésirables survenus avec une fréquence > 5 % dans le cas où la
fréquence était plus élevée chez les patients traités par Victoza que chez les patients traités par le comparateur. Les effets indésirables
survenus avec une fréquence 2 % sont également indiqués si cette fréquence était plus de 2 fois supérieure à celle observée chez les
sujets traités par le comparateur. Rhinopharyngite : fréquent (lira+glim, lira+met+rosi), bronchite : fréquent (lira+met+glim),
hypoglycémie : très fréquent (lira+met+glim), fréquent (lira+glim, lira+met+rosi), anorexie : fréquent (lira+met, lira+glim, lira+met+glim,
lira+met+rosi), diminution de l'appétit : fréquent (lira+met, lira+met+rosi), céphalées : très fréquent (lira+met), fréquent (lira+met+glim,
lira+met+rosi), vertiges : fréquent (lira+met), nausées : très fréquent (lira+met, lira+met+glim, lira+met+rosi), fréquent (lira+glim),
diarrhée : très fréquent (lira+met, lira+met+glim, lira+met+rosi), fréquent (lira+glim), vomissements : très fréquent (lira+met+rosi),
fréquent (lira+met, lira+glim, lira+met+glim), dyspepsie : fréquent (lira+met, lira+glim, lira+met+glim, lira+met+rosi), douleur
abdominale haute : fréquent (lira+met+glim), constipation : fréquent (lira+glim, lira+met+glim, lira+met+rosi), gastrite : fréquent
(lira+met), fl atulences : fréquent (lira+met+rosi), distension abdominale : fréquent (lira+met+rosi), refl ux gastro-oesophagien : fréquent
(lira+met+rosi), gêne abdominale : fréquent (lira+glim), mal de dents : fréquent (lira+met+glim), gastro-entérite virale : fréquent
(lira+met+rosi), fatigue : fréquent (lira+met+rosi), pyrexie : fréquent (lira+met+rosi), réactions au site d'injection* : fréquent (lira+met,
lira+glim, lira+met+rosi), peu fréquent (lira+met+glim). lira=liraglutide, met=metformine, glim=glimépiride, rosi=rosiglitazone. Effets
indésirables rapportés spontanément (peu fréquent)* : malaise, insuffi sance rénale aigüe, insuffi sance rénale, déshydratation, urticaire.
* Ne correspond pas aux critères précédemment cités mais est considéré comme un effet indésirable listé. Lors d'une étude clinique
réalisée avec Victoza en monothérapie, le taux d`hypoglycémies observées avec Victoza était inférieur à celui rapporté pour les patients
traités par le comparateur actif (glimépiride). Les effets indésirables le plus fréquemment observés étaient les affections gastro-
intestinales et les infections et infestations. Hypoglycémie : La plupart des épisodes d'hypoglycémie confi rmée observés au cours des
études cliniques étaient mineurs. Aucun épisode d'hypoglycémie majeure n'a été observé durant l'étude réalisée avec Victoza utilisé en
monothérapie. Les hypoglycémies majeures peuvent survenir peu fréquemment avec Victoza et ont principalement été observées lorsque
Victoza était associé à un sulfamide hypoglycémiant (0,02 événement/patient-année). Quelques rares épisodes d'hypoglycémie (0,001
événement/patient-année) ont été observés lors de l'administration de Victoza en association à des antidiabétiques oraux autres que les
sulfamides hypoglycémiants. Effets indésirables gastro-intestinaux : Lorsque Victoza était associé à la metformine, 20,7 % des patients
ont rapporté au moins un épisode nauséeux et 12,6 % des patients au moins un épisode diarrhéique. Lorsque Victoza était associé à un
sulfamide hypoglycémiant, 9,1 % des patients ont rapporté au moins un épisode nauséeux et 7,9 % des patients au moins un épisode
diarrhéique. La plupart de ces épisodes étaient d'intensité légère à modérée et dose-dépendants. Chez la plupart des patients ayant
initialement présenté des nausées, la fréquence et l'intensité de celles-ci ont diminué avec la poursuite du traitement. Les patients > 70
ans peuvent être davantage sujets aux effets indésirables gastro-intestinaux lorsqu'ils sont traités par le liraglutide. Les patients
présentant une insuffi sance rénale légère peuvent être plus sujets aux effets indésirables gastro-intestinaux lorsqu'ils sont traités par le
liraglutide. Sorties d'étude : Dans les études contrôlées à long terme (26 semaines ou plus), l'incidence des sorties d'étude dues aux effets
indésirables était de 7,8 % chez les patients traités par Victoza et de 3,4 % chez les patients traités par le comparateur. Chez les patients
traités par Victoza, les effets indésirables ayant le plus fréquemment conduit à une sortie d'étude étaient les nausées (2,8 % des patients)
et les vomissements (1,5 %). Immunogénicité : Compte tenu des propriétés potentiellement immunogènes des médicaments contenant
des protéines ou des peptides, les patients traités par Victoza peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. En moyenne, 8,6 % des
patients ont développé des anticorps. L'apparition d'anticorps n'a pas été associée à une perte d'effi cacité de Victoza. Quelques cas (0,05
%) d'angioedème ont été rapportés au cours des études cliniques à long terme menées avec Victoza. Réactions au site d'injection : Lors
des études cliniques contrôlées à long terme (26 semaines ou plus), environ 2 % des patients traités par Victoza ont rapporté une réaction
au site d'injection. Ces réactions étaient généralement de faible intensité. Pancréatite : Lors des études cliniques à long terme réalisées
avec Victoza, peu de cas (< 0,2 %) de pancréatite aiguë ont été observés. Des pancréatites ont également été rapportées après la
commercialisation du médicament. Evénements thyroïdiens : Le taux global des effets indésirables thyroïdiens dans toutes les études de
durée intermédiaire et à long terme était respectivement de 33,5, de 30,0 et de 21,7 événements pour 1 000 patients-année d'exposition
pour l'ensemble des groupes liraglutide, placebo et tous comparateurs ; respectivement 5,4, 2,1 et 1,2 événements concernaient des
effets indésirables thyroïdiens sévères. Les néoplasmes thyroïdiens, l'augmentation de la calcitoninémie et les goitres ont été les effets
indésirables thyroïdiens les plus fréquents. Les taux pour 1 000 patients-année d'exposition ont été respectivement de 6,8, de 10,9 et de
5,4 chez les patients traités par liraglutide, de 6,4, de 10,7 et de 2,1 chez les patients sous placebo et de 2,4, de 6,0 et de 1,8 chez les
patients traités par les comparateurs.
Mode de délivrance : prescription médicale. Titulaire de l'Autorisation de Mise sur le
Marché (AMM): Novo Nordisk A/S, Danemark. Numéro d'AMM : EU/1/09/529/002 (2 stylos préremplis). Date de mise à jour du texte :
05/2012.
Victoza
®
est une marque déposée appartenant à Novo Nordisk A/S, Danemark
* sur base des mesures telles que le modèle d'homéostasie de la fonction
bêta-cellulaire (HOMA B) et le rapport pro insuline/insuline (voir RCP)
1. RCP Victoza
®
MAI 2012
Remboursé pour les patients diabétiques de type 2 insuffi samment contrôlés sous bithérapie orale (voir site INAMI)
A
A
u
u
-
d
d
e
l
à
à
d
d
d
e
l
a
g
l
y
y
y
c
c
é
é
m
m
i
e
,
Victoza
®
: premier analogue du GLP-1 humain en 1x / jour
·
Diminution signifi cative et durable de l'HbA
1c
1
·
Perte de poids durable
1
·
Diminution de la pression artérielle systolique
1
·
Amélioration de la fonction bêta-cellulaire
*
105,80 Af
DIAB/08-2012/306/V1/FR