![]() P 7F est trop importante et qu'elle n'est plus en mesure de s'occuper correctement d'elle-même et de son bébé, il faut parfois envisager une hospitalisation au sein d'une unité mère-enfant. Une telle unité peut représenter une réelle plus-value pour ces patientes. Il est en effet possible pour le personnel soignant de s'y concentrer plus spécifiquement sur les angoisses et conflits spécifiques des jeunes mamans tout en suivant, en facilitant et en stimulant leur relation avec leur bébé. suivants: crises de larmes sans raison apparente, fatigue, irritabilité, sautes d'humeur, anxiété, doutes sur sa capacité à s'occuper du bébé, troubles du sommeil, sentiment de découragement. Il disparaît spontanément au bout de quelques jours, d'autant plus vite si la maman a l'opportunité de parler, d'exprimer ses peurs, son angoisse, ses doutes. Il suffit souvent d'un échange avec un proche, un médecin, une sage-femme, une puéricultrice ou une autre jeune maman pour que tout rentre dans l'ordre. sur dix est concernée. Elle présente les symptômes d'une dépression, elle est centrée sur son rôle de mère et la relation avec son enfant. Elle se caractérise par une fatigue tenace, des pleurs fréquents, des pensées obsessionnelles, des difficultés à se concentrer, un grand manque de confiance en soi, un sentiment permanent d'être débordée, incompétente, mal jugée et mal aimée, des colères incontrôlées, des crises d'angoisse, parfois des tendances suicidaires. Une dépression post-natale nécessite une intervention rapide (et donc un diagnostic aussi précoce que possible) afin d'éviter que les symptômes ne s'installent et s'aggravent. Une approche combinée, alliant un traitement médical et une psychothérapie, est nécessaire. Pour une lubrifi cation durable Formule hypotonique |