7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 par Laurette Onkelinx pour réformer le système de planification de l'offre médicale. La ministre propose, dès 2020, un accès totalement libre à la profession pour les métiers en pénurie et le maintien des quotas pour les autres spécialités. La ministre de la Santé publique et des Affaires sociales estime que le système actuel de contingentement installé en 1988 dans notre pays et appliqué pour la première fois en 2004 a montré ses limites. «Alors qu'on observe un afflux massif d'étudiants dans les formations de médecine spécialisée, on constate d'un autre côté que les disciplines en pénurie pour lesquelles des quotas minimums ont été établis ne sont pas suffisamment pourvues», explique la ministre. Laurette Onkelinx propose, dès 2020, de supprimer les quotas pour les spécialités en pénurie médecine aiguë, gériatrie, psychiatrie infanto-juvénile, médecine générale et médecine d'urgence parce qu'ils ne sont pas remplis (hormis pour les urgentistes). Le système de contingentement sera par contre maintenu pour les autres spécialités. Ces quotas devront être appliqués rigoureusement par les Communautés (plus de possibilité de lissage sur plusieurs années). Les candidats étrangers seront aussi, dès 2015, soumis aux mêmes règles que les candidats belges. La liste de métiers en pénurie sera réévaluée annuellement par la Commission de planification. «Nous garantissons donc aux étudiants en médecine qu'ils auront tous un numéro Inami, au minimum dans les spécialités en pénurie», promet Laurette Onkelinx. Dans le cadre de cette réforme du contingentement, plusieurs autres mesures sont prises. Le SPF Santé publique et l'Inami vont enfin croiser de façon permanente leurs données pour réaliser un cadastre actualisé du corps médical. Une vaste afin de dresser la liste des spécialités médicales qui devraient être inclues dans les spécialités à promouvoir, ou pour lesquelles il y aurait une nécessité de mieux les promouvoir, compte tenu, par exemple, du vieillissement de la population. Il se peut donc que les chiffres du contingentement fixés pour les années 2019 et suivantes doivent être adaptés aux conclusions de cette étude. Cette réforme radicale du contingentement a été appréciée diversement par les syndicats médicaux, les partis politiques et les académiques. Elle a été saluée, entre autres, par le GBO, Ecolo, le sénateur Brotchi et critiquée par la NVA, l'Absym, le VGV, les doyens des facultés de médecine flamandes. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 les colis chez les gens. en marche au Sud du pays décembre, au lancement officiel de la «Plateforme pour l'Amélioration continue de la Qualité des soins et de la Sécurité des patients PAQS». Les promoteurs de cette plateforme financée à hauteur de 900.000 euros par les autorités insistent sur le fait que l'accréditation n'est qu'un outil, et que l'objectif est l'amélioration de la qualité et de la sécurité, avec des actions concrètes centrées autour du patient. Cette initiative vient du terrain et rassemble aujourd'hui les fédérations hospitalières actives en Wallonie et à Bruxelles, les mutualités, des universités et l'Association francophone des médecins chefs. Cette structure offrira en 2014 aux hôpitaux qui le souhaitent une série d'activités articulées autour de l'accréditation: séances d'information sur l'accréditation, échange d'expériences et de bonnes pratiques, formation d'experts, mise en place d'une phase d'éveil à l'accréditation, formation à la gestion documentaire et à la coordination du processus d'accréditation dans un hôpital, ainsi qu'une réflexion quant à la communication sur cette thématique au sein des institutions de soins. «L'accréditation ne doit pas se transformer en une course de vitesse et en une compétition entre institutions, mais doit s'intégrer à la culture et à la gestion de nos hôpitaux, afin de fournir aux patients la meilleure qualité de soins dans un environnement le plus sécurisé possible», souligne Denis Herbaux, coordinateur de la PAQS. votée par le sénat sociales et de la Justice, la proposition de loi visant à étendre sous certaines conditions la loi sur l'euthanasie aux mineurs a été votée (à 50 voix contre 17) le 12 décembre en séance plénière du Sénat. Le texte, qui a fait durant des mois l'objet de débats animés, doit encore être approuvé, voire amendé, par les députés en 2014. Il bénéfice du soutien officiel du MR, du PS, du SP, de l'Open VLD et de la N-VA. Le cd-H, le CD&V, le Vlaams Belang et les sénateurs MR Gérard Deprez et Armand de Decker (en invoquant leur liberté de conscience) se sont déclarés opposés à cette extension. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 injecté une fois par mois pendant 3 mois consécutifs suivi d'une injection tous les 2 mois. Il n'est pas nécessaire de réaliser des visites de suivi entre les injections. Après les 12 premiers mois de traitement par Eylea, l'intervalle entre deux injections peut être prolongé en fonction des résultats visuels et anatomiques. Dans ce cas, le calendrier de suivi doit être déterminé par le médecin administrant le traitement et ces visites de suivi peuvent être plus fréquentes que les injections programmées. OEdème maculaire secondaire à une OVCR : La dose recommandée d'Eylea est de 2 mg d'aflibercept, correspondant à 50 microlitres. Après la première injection, le traitement est administré mensuellement trois évaluations mensuelles. La nécessité de poursuivre le traitement devra ensuite être réévaluée. Si nécessaire, le traitement peut être poursuivi avec une augmentation progressive de l'intervalle entre deux injections afin de maintenir la réponse visuelle et anatomique. Si le traitement a été arrêté, un suivi des paramètres visuels et anatomiques doit être réalisé, et en cas de dégradation le traitement doit être réinstauré. Ce suivi doit être généralement assuré lors de la consultation pour l'administration du produit. Dans le cas où l'intervalle entre 2 injections est supérieur à 1 mois, le calendrier de suivi doit être déterminé par le médecin administrant le traitement en fonction de la réponse du patient, et ce jusqu'au terme du traitement. Ces visites de suivi peuvent être plus fréquentes que les injections programmées. Populations particulières : Insuffisance hépatique et/ou rénale : Aucune étude spécifique chez les patients atteints d'insuffisance hépatique et/ou rénale n'a été menée avec Eylea. Les données actuellement disponibles ne suggèrent pas un besoin d'adaptation posologique d'Eylea chez ces patients. Patients âgés: Aucune précaution particulière n'est nécessaire. Population pédiatrique : La sécurité et l'efficacité d'Eylea n'ont pas été établies chez les enfants et les adolescents. Il n'y a pas d'indication pertinente d'Eylea pour la population pédiatrique dans le cadre de la forme humide de la DMLA et de l'OVCR. Mode d'administration : Les injections intravitréennes doivent être réalisées par un médecin qualifié et expérimenté dans ce type d'injections, conformément aux bonnes pratiques et aux recommandations en vigueur. De façon générale, il est nécessaire d'assurer une anesthésie et des conditions d'asepsie adéquates, y compris par l'application d'un antibactérien local à large spectre (ex. povidone iodée sur la zone périoculaire, la paupière et la surface oculaire). La désinfection chirurgicale des mains, le port de gants stériles, l'utilisation d'un champ stérile et d'un spéculum à paupières stérile (ou équivalent) sont recommandés. L'aiguille pour injection doit être insérée 3,5-4,0 mm en arrière du limbe dans la cavité vitréenne, en évitant le méridien horizontal et en visant le centre du globe oculaire. Le volume de 0,05 ml peut alors être injecté ; un point d'injection scléral différent doit être utilisé lors des injections ultérieures. Immédiatement après l'injection intravitréenne, les patients doivent être suivis pour surveiller une possible élévation de la pression intraoculaire. Une surveillance appropriée consiste par exemple en une surveillance de la perfusion de la tête du nerf optique ou une tonométrie. Si nécessaire, un équipement stérile de paracentèse doit être disponible. Après l'injection intravitréenne, les patients doivent être informés qu'ils doivent signaler sans délai tout symptôme évocateur d'endophtalmie (ex. douleur oculaire, rougeur de l'oeil, photophobie, vision trouble). Chaque flacon doit uniquement être utilisé pour le traitement d'un seul oeil. Le flacon contient plus que la dose recommandée de 2 mg d'aflibercept. Le volume extractible du flacon (100 microlitres) ne doit pas être utilisé en totalité. Le volume excédentaire doit être éliminé avant l'injection. L'injection de la totalité du volume du flacon pourrait entrainer un surdosage. Pour éliminer les bulles d'air avec le produit excédentaire, appuyer lentement sur le piston pour aligner la base cylindrique de l'extrémité en dôme du piston avec la ligne de dosage noire sur la seringue (équivalant à 50 microlitres c'est-à-dire 2 mg d'aflibercept). Après injection, tout produit non utilisé doit être éliminé. procédure d'injection ont été observés dans moins de 1 injection intravitréenne d'Eylea sur 1 000. Ils incluaient une endophtalmie, une cataracte traumatique et une élévation passagère de la pression intraoculaire. Les effets indésirables les plus fréquents (chez au moins 5 % des patients traités par Eylea) étaient l'hémorragie conjonctivale (26,7 %), la douleur oculaire (10,3 %), le décollement du vitré (8,4 %), la cataracte (7,9%), des corps flottants vitréens (7,6 %) et l'élévation de la pression intraoculaire (7,2 %). OEdème maculaire secondaire à une OVCR : Au total, 317 patients traités par au moins une dose d'Eylea et exposés au traitement sur une durée allant jusqu'à 100 semaines ont constitué la population sélectionnée pour l'évaluation du profil de tolérance dans les deux études de phase III. Des effets indésirables graves liés à la procédure d'injection ont été observés lors de 3 injections intravitréennes d'Eylea sur 2 728. Ils incluaient une endophtalmie, une cataracte et un décollement du vitré. Les effets indésirables les plus fréquents (chez au moins 5 % des patients traités par Eylea) étaient l'hémorragie conjonctivale (15,8 %), l'élévation de la pression intraoculaire (12,9 %), la douleur oculaire (12,6 %), le décollement du vitré (6,9 %), des corps flottants vitréens (5,7 %), l'augmentation de la sécrétion lacrymale (5,0 %) et l'hyperhémie oculaire (5,0 %). Liste tabulée des effets indésirables (Effets indésirables rapportés au cours des études de phase III dans la forme humide de la DMLA et dans l'OVCR): Les données de sécurité décrites ci-dessous incluent tous les effets indésirables issus des études de phase III dans la forme humide de la DMLA et/ou l'OVCR avec une imputabilité possiblement liée à la procédure d'injection ou au médicament. Les effets indésirables ont été classés par classe de systèmes d'organes et par fréquence selon les règles suivantes : sous-capsulaire, Érosion de la cornée, Abrasion de la cornée, Elévation de la pression intraoculaire, Vision trouble, Corps flottants vitréens, OEdème cornéen, Décollement du vitré, Douleurs au point d'injection, Sensation de corps étrangers dans les yeux, Augmentation de la sécrétion lacrymale, OEdème de la paupière, Hémorragie au site d'injection, Hyperhémie conjonctivale, Hyperhémie oculaire |