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Le Spécialiste
13-21
26 décembre 2013
www.lepsecialiste.be
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I
Bernard
Hepp
analyse
l'impact de
son service
Que rapporte le Service d'Evaluation
et de Contrôle Médicaux (SECM)
à notre système de santé? Son
directeur général, le Dr Bernard
Hepp, souligne d'emblée qu'il est
délicat d'évaluer son impact global,
parce qu'il se répartit sur différents
niveaux. Ses effets «directs» sont
néanmoins assez faciles à mesurer,
puisqu'il suffit de faire le total
des sanctions infligées (environ
3,474 millions d'euros en 2012)
et des montants qui ont dû être
remboursés par des prestataires de
soins (7,8 millions la même année).
Il s'y ajoute toutefois évidemment
un impact indirect sur les dépenses
de santé. «Il est difficilement
mesurable, mais il est évident qu'il
est largement supérieur ­ et plus
durable ­ que l'impact direct
»,
affirme le Dr Hepp. «Le travail de
notre service ne se réduit toutefois
pas uniquement à des chiffres
»,
enchaîne le médecin-inspecteur-
directeur Didier Renaud. «Nous
ne nous bornons pas à contrôler et
sanctionner: nous nous chargeons
également d'évaluer et d'informer
les dispensateurs de soins
.» Le SECM
réalise par exemple des brochures
d'information et est régulièrement
consulté par le parlement, le KCE
et les soignants eux-mêmes. Le Dr
Hepp souligne que son service joue
donc un rôle essentiel en ces temps
de disette budgétaire, rappelant que
ses coûts de fonctionnement ne
dépassent pas 31 millions par an,
soit 0,80 euros par millier d'euros
dépensés par l'assurance-maladie...
G.V.
JS0964F
60 hôpitaux veulent
ouvrir un centre
d'algologie
Les autorités réforment de façon radicale la prise en charge de la douleur
en milieu hospitalier. Les points les plus marquants de cette réforme sont
l'obligation imposée à tous les hôpitaux de disposer d'une équipe algologique
multidisciplinaire à partir du 1
er
juillet et le fait que les autorités accorderont
une reconnaissance officielle à 36 centres de lutte contre la douleur. Une
circulaire du SPF Santé publique rappelle à cet égard que les candidatures
étaient attendues avant le 15 avril.
L'administration a reçu une soixantaine de dossiers en provenance d'établissements
intéressés, pour 36 places disponibles. Les autorités devront donc faire leur choix très
rapidement, étant donné que l'entrée en vigueur de la réforme est prévue au 1
er
juillet déjà.
Chaque hôpital pourra accueillir au maximum un centre reconnu. La procédure de sélection
prendra notamment en compte l'expertise en matière de traitement des patients douloureux
chroniques et d'administration des analgésiques. Les centres devront également disposer
de personnes possédant des connaissances et une expérience préalable de l'algologie ­ et
la présence d'un médecin capable d'assurer leur coordination, en particulier, est un «must».
Les dossiers doivent par ailleurs comporter des propositions pour développer la
concertation et créer un réseau de lutte contre la douleur entre les différents services
hospitaliers.
Le Dr Jean-Pierre Van Buyten, président de la société flamande d'anesthésiologie
analgésique et directeur du centre multidisciplinaire de la douleur à l'AZ
Nikolaas, voit dans cette réforme une évolution positive.
G.V.
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Juin
La médecine
spécialisée en
statistiques
Le SPF Santé publique publie ses
statistiques sur le nombre de
prestataires de soins au 31 décembre
2012 (Statan 2012) A cette date,
très exactement 26.018 médecins
spécialistes agréés étaient domiciliés
dans notre pays, soit un millier de
plus que deux ans plus tôt (25.012
médecins fin 2010). Le contingent
reste majoritairement masculin
(deux spécialistes sur trois sont des
hommes)... mais sans doute plus
pour longtemps, car ces messieurs se
concentrent surtout dans les groupes
les plus âgés: si 84% des 5.154
spécialistes actifs de plus de 65 ans
sont des hommes, les femmes sont
déjà majoritaires dans la tranche
la plus active, celle des 30-44 ans.
Parmi les 2.008 spécialistes âgés de
30 à 34 ans, par exemple, pas moins
de 1.234 (61,5%) sont des femmes.
L'anesthésie-réanimation est de
loin la discipline la plus populaire,
avec 2.281 praticiens dont une large
majorité d'hommes (1.400), suivie
par la médecine interne (1.791
médecins dont 1.230 hommes),
la pédiatrie (1.746, dont 1.044
femmes), le radiodiagnostic (1.712,
dont 1.263 hommes) et la chirurgie
(1.697, dont 1.428 hommes). Tout
en bas du classement, on retrouve la
médecine d'urgence avec seulement
41 praticiens, dont 19 femmes. Des
spécialités un peu à part comme la
médecine légale (41) et la gestion
des données de santé (58) semblent
également rencontrer un intérêt
assez limité, tout comme l'oncologie
médicale (221 médecins dont 112
femmes), l'oncologie-radiothérapie
(228, dont 125 femmes) ou encore
la gériatrie (265, dont 147 femmes).
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Le Vif/L'Express
Juin 2013
Delphine Boël demande à la Justice de faire réaliser un test ADN au prince
Philippe et à sa soeur Astrid, afin de prouver sa filiation avec Albert II.
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