7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 senté le 15 octobre par les quatre ministres de la santé. Il comprend 58 actions concrètes. Ce projet est national, pluriannuel et transversal. Il concerne à la fois les acteurs de la santé publique, de l'enseignement, de la justice, de l'égalité des chances, de l'intégration sociale, de la culture... La ministre Onkelinx s'est engagée à financer ce programme à hauteur de 1 million d'euros, un montant qui s'ajoute aux 13 millions d'euros déjà consacrés chaque année par l'Etat fédéral à la lutte contre le VIH. Quatre piliers stratégiques ont été définis par les promoteurs du plan: la prévention, le dépistage et l'accès à la prise en charge, la prise en charge des personnes vivant avec le VIH et la qualité de vie de ces patients. le rouge en 2012 2011. L'étude Maha (Model for Automatic Hospital Analyses) de Belfius, présentée le 3 octobre 2013, révèle que l'augmentation du chiffre d'affaires global du secteur hospitalier a été sensiblement impacté par les mesures d'économies prises par le gouvernement sur les honoraires des médecins en 2012 (130 millions d'euros) et en 2010, et par une diminution du budget des produits pharmaceutiques. la contribution positive de la pharmacie au résultat financier des hôpitaux a chuté de pratiquement un tiers par rapport à la période 2008-2010. Or, la marge positive réalisée par les hôpitaux généraux grâce à la pharmacie et aux services médico- techniques joue un rôle important pour compenser le sous-financement existant du BMF. du chiffre d'affaires) de 3,6%, les forfaits (+7,2%), la dialyse (+2%) et les conven- tions Inami sur les diabètes et la chimiothérapie. Ces hausses expliquent la légère augmentation du chiffre d'affaires global du secteur. hausse qui s'explique par une augmentation du coût par travailleur (2,7%) et par une croissance du nombre d'ETP dans le secteur hospitalier. 13 hôpitaux généraux présentaient un résultat comptable négatif. Ce groupe est passé à 17 en 2012. En outre, 29 institutions ont enregistré un résultat d'exploita- tion courant négatif l'an passé, pour 25 en 2011. En moyenne, ce résultat structurel recule de 37,7%. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 mis sur écoute le téléphone portable de la chancelière allemande Angela Merkel. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 hospitalier: lancement du chantier feuille de route pour initier une grande réforme du financement hospitalier. Dans un premier temps, le KCE qui a déjà réalisé une comparaison des systèmes étrangers va ren- contrer les partenaires du secteur pour prendre le pouls et lancer la «machine». Une large consultation des partenaires (hôpitaux, médecins, syndicats médicaux, mutuelles, administrations...) sera organisée par le KCE et une société de consul- tance jusqu'en septembre 2014. Sa mission: examiner l'écart entre la situa- tion actuelle et la situation idéale. Le résultat de ce travail sera présenté publi- quement en septembre 2014. Entre octobre et décembre 2014, une proposition de réforme du financement sera formulée. «Le nouveau gouvernement devra se saisir du résultat des étapes précédentes et prendre des décisions pour lancer la réforme. Ensuite, tout cela sera validé au niveau législatif. Ces modifications techniques vont prendre toute l'année 2015», précise Laurette Onkelinx. Le futur système devrait être implémenté à partir de 2016. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 non-discrimination droits des patients en matière de soins de santé transfrontaliers est entrée en vigueur le 25 octobre 2013. Elle clarifie le droit des patients à bénéficier de soins de santé dans n'importe quel Etat membre de l'Union européenne et à en obtenir le remboursement. Pour permettre aux patients de bien comprendre la directive, il est prévu de créer des «points de contact» nationaux. Pour les patients belges, ce sont les mutuelles. Pour les patients étrangers, l'Inami doit s'en charger. Cette nouvelle réglementation a des implications directes pour les patients. Elle oblige le patient à avancer la totalité des frais médicaux, qu'ils aient été reçus dans un établissement public ou privé. Après examen des factures par la mutua- lité, le remboursement s'effectuera aux tarifs et conditions belges. Le patient belge n'a plus besoin de l'accord du médecin-conseil de sa mutualité pour consulter un prestataire de soins dans un autre Etat membre (en soins ambulatoires). Pour les hospitalisations et les soins ambulatoires onéreux ou nécessitant des appareils de haute technologie, un accord écrit de la mutualité belge est toutefois toujours nécessaire. 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 |