STEMI, une pathologie dont la fréquence a diminué de moitié sans raison apparente au cours des 20 à 30 dernières années. D'un point de vue médical, il est donc complètement irrationnel de multiplier le nombre de centres qui pratiquent ce type d'intervention, car cette offre pléthorique risque de gonfler artificielle- ment la demande et de générer encore plus de dilatations coronaires inutiles.» de reconnaissance profiterait surtout aux hôpitaux. «Un cathlab génère aussi des revenus supplémentaires grâce aux forfaits qui y sont associés (biologie clinique, pharmacie, etc.), mais médicalement parlant, c'est un véritable la Belgique est déjà championne du nombre d'ICP. Ces centres doivent non seulement générer un certain chiffre d'affaires pour être rentables, mais aussi accumuler un minimum d'expérience pour pouvoir offrir des soins de qualité... Et comme les besoins n'augmentent pas, puisqu'il n'y a pas plus d'infarctus, ils abaisseront le seuil de recours aux ICP. Or, ce n'est ni souhaitable ni anodin, car ces de mortalité.» La vision de l'opinion publique est évidem- ment tout autre. «Lorsque le SMUR conduit un patient victime d'un infarctus dans un grand hôpital, toutes sirènes hurlantes, cela crée l'illusion d'une meilleure prise en charge, d'un meilleur pronostic. Or, en Belgique, c'est faux. De très nombreux petits hôpitaux emploient également trois cardiologues ou plus et dis- cathlab et avec assez peu de transferts, le nombre de décès et de réhospitalisations après infarctus aigu reste comparable. Par contre, la probabilité que le patient soit soumis à un cathétérisme cardiaque augmente de 50% lorsque l'établissement dispose d'un cathlab... et il ne s'en portera pas mieux pour autant.» non déterminée (ne peut être estimée sur la base des données cliniques disponibles). Système classe organe / terme MedDRA recommandé Fréquence Troubles du métabolisme et de la nutrition: Déshydratation: Non déterminée - Affections du système nerveux: Etourdissements: Peu fréquents - Céphalées: Peu fréquentes - troubles du goût: Peu fréquents - Insomnie: Rare - Affections oculaires: Vision trouble: Peu fréquente - Glaucome: Rare - Augmentation de la pression intraoculaire: Rare - Affections cardiaques: Fibrillation auriculaire: Peu fréquente - Tachycardie supraventriculaire: Rare - Tachycardie: Rare - Palpitations: Rare - Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: Pharyngite: Peu fréquente - dysphonie: Peu fréquente - Toux: Peu fréquente - Bronchospasme: Rare - Epistaxis: Rare - Laryngite: Rare - Sinusite: Rare - Affections gastro-intestinales: Sécheresse buccale: Fréquente - Reflux gastro-oesophagien: Peu fréquent - Constipation: Peu fréquente - Candidose oropharyngée: Peu fréquente - obstruction intestinale, y compris iléus paralytique: Rare - Gingivite: Rare - Glossite: Rare - dysphagie: Rare - Stomatite: Rare - Nausée: Rare - Caries dentaires: Non déterminée - Affections de la peau et du tissu sous-cutané, affections du système immunitaire: Eruption cutanée: Peu fréquente - urticaire: Rare - Prurit: Rare - Hypersensibilité (y compris réactions d'hypersensibilité immédiate): Rare - oedème de Quincke: Rare - Infection de la peau, ulcère de la peau: Non déterminée - Sécheresse de la peau: Non déterminée - Affections musculo-squelettiques et systémiques: Gonflement articulaire: Non déterminée - Affections du rein et des voies urinaires: Dysurie: Peu fréquente - Rétention urinaire: Peu fréquente - Infection du tractus urinaire: Rare Description d'effets indésirables sélectionnés Dans les essais cliniques contrôlés, les effets indésirables fréquemment observés ont été des effets indésirables de type anticholinergique comme la sécheresse buccale qui est survenue chez approximativement 4% des patients. dans 28 essais cliniques, la sécheresse buccale a été à l'origine de 18 arrêts de traitement parmi les 9.647 patients traités par le tiotropium (soit 0,2% des patients traités). Les effets indésirables graves généralement attribués aux effets anticholinergiques comprennent le glaucome, la constipation et l'obstruction intestinale, y compris l'iléus paralytique, ainsi que la rétention urinaire. Autres populations particulières l'incidence des effets anticholinergiques peut augmenter avec l'âge. MoDe De DÉlIvRANCe Médicament soumis à prescription médicale. tItulAIRe De l'AutoRISAtIoN De MISe SuR le MARCHÉ Boehringer Ingelheim International GmbH Binger Straße 173 d-55216 Ingelheim am Rhein Allemagne NuMÉRo D'AutoRISAtIoN De MISe SuR le MARCHÉ 4 Be236047 DAte De MISe À JouR Du teXte 11/2012 RePReSeNtANt loCAl Boehringer Ingelheim Avenue Ariane 16 1200 Bruxelles eDIteuR ReSPoNSAble: M. Connolly, Avenue Ariane 16, 1200 Bruxelles. Boehringer Ingelheim et Pfizer. Ce matériel promotionnel est seulement d'application pour le Spiriva® HandiHaler® QuANtItAtIve Chaque gélule contient 22,5 microgrammes de bromure de tiotropium monohydraté équivalant à 18 microgrammes de tiotropium. La dose délivrée (c'est-à-dire la quantité de produit sortant de l'embout buccal du dispositif HandiHaler) est de 10 microgrammes de tiotropium. FoRMe PHARMACeutIQue Poudre pour inhalation en gélule. Gélules vert clair, avec impression du code du produit TL 01 et du logo de la firme à l'extérieur des gélules. INDICAtIoNS tHÉRAPeutIQueS Le tiotropium est un bronchodilatateur indiqué comme traitement d'entretien pour soulager les symptômes des patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). PoSoloGIe et MoDe D'ADMINIStRAtIoN Posologie Ce médicament est destiné uniquement à la voie inhalée. La posologie recommandée de bromure de tiotropium est l'inhalation du contenu d'une gélule une fois par jour, à la même heure, à l'aide du dispositif HandiHaler. La dose recommandée ne doit pas être dépassée. Les gélules de bromure de tiotropium ne doivent pas être avalées. Le bromure de tiotropium doit uniquement être inhalé à l'aide du dispositif HandiHaler. Populations particulières Le bromure de tiotropium peut être utilisé chez les sujets âgés à la dose recommandée. Chez les patients atteints d'insuffi sance rénale, le bromure de tiotropium peut être utilisé à la dose recommandée. En cas d'insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine < 50 ml/ min) voir rubriques 4.4. et 5.2. du "Résumé des Caractéristiques du Produit". Le bromure de tiotropium peut être utilisé à la dose recommandée chez les patients atteints d'insuffi sance hépatique. Population pédiatrique L'utilisation dans la population pédiatrique (moins de 18 ans) n'est pas justifiée dans l'indication mentionnée dans la rubrique "Indications thérapeutiques". Mode d'administration Pour une administration correcte du médicament, le médecin ou un autre professionnel de santé devra éduquer le patient au bon usage du dispositif. Instructions pour la manipulation et l'utilisation: voir le "Résumé des Caractéristiques du Produit". CoNtRe-INDICAtIoNS Le bromure de tiotropium sous forme de poudre pour inhalation est contre-indiqué chez les patients hypersensibles au bromure de tiotropium, à l'atropine ou à ses dérivés, c'est-à-dire l'ipratropium ou l'oxitropium, ou au lactose monohydraté (excipient qui contient des protéines de lait). eFFetS INDÉSIRAbleS Résumé du profil de sécurité: un grand nombre des événements indésirables mentionnés peuvent être attribués à l'action anticholinergique de SPIRIVA. Tableau résumé des effets indésirables: les fréquences attribuées aux effets indésirables dont la liste figure ci-dessous sont basées sur les taux d'incidence bruts des réactions médicamenteuses indésirables (c'est-à-dire des événements attribués au tiotropium) observées dans le groupe du tiotropium (9.647 patients) et survenues au cours de 28 études cliniques groupées, contrôlées versus placebo, pendant des périodes de traitement comprises entre quatre semaines et 4 ans. la fréquence est défi nie selon la convention en cardiologiques relève aujourd'hui de la compétence des régions, le dossier a aussi d'inévitables relents communautaires. «La réglementation est devenue encore plus complexe, puisqu'elle impose désormais une intervention des régions», constate le Dr Van Brabandt. A Ypres, l'hôpital Yperman a déjà obtenu sa reconnaissance en tant que centre B1 et B2... et le cardiologue craint fort que ce ne soit que le premier d'une longue série. D'après lui, la totalité des institutions flamandes auraient en effet introduit une demande en ce sens une information fermement démentie par le cabinet Vandeurzen. «Une demi-douzaine de dossiers seulement sont actuellement en cours de traitement auprès de l'agence flamande des soins et de la santé, même s'il est vrai qu'il n'est pas trop tard pour introduire une demande», affirme le Dr Dirk De Wolf, chef de cabinet adjoint. «Le ministre Vandeurzen n'a pas encore pris de décision, mais un cathlab dans chaque hôpital, cela ne tient pas debout. Pire: c'est probablement néfaste pour la santé publique», souligne encore le Dr Van Brabandt. patient soit soumis à un cathétérisme cardiaque augmente de 50% lorsque l'établissement dispose d'un cathlab... et il ne s'en portera pas mieux pour autant. |