chirurgie prime au 28 Stockolm) ne manque pas d'interpeller (1)... patients traités par chirurgie et des 12.982 personnes traitées par radiothérapie pour cancer de la prostate localisé, son équipe a conclu en la supériorité de la chirurgie en termes de survie globale. lorsque le cancer est au stade avancé ou métastatique et est supérieure à la chirurgie pour les cancers de stade avancé chez les patients âgés de 65 à 74 ans. Milan, du 15 au 19 mars. Voici quelques informations glanées pour vous... la bonne formule la masse grasse et augmenter la masse maigre. C'est ce qu'ont pu confirmer les participants à une étude allemande (2) portant sur l'administration d'undecanoate de testostérone (1.000mg pendant 6 mois) à 850 hommes avec hypogonadisme marqué par un taux de testostérone 12,1nmol/L, et marqué par une réduction significative de l'IMC, du poids et de la circonférence à la taille. un taux de PSA 3mg/ml impliquait une biopsie), soit d'un suivi classique (n = 21.166) pour un cancer de la prostate. Après un suivi d'une durée de 12,8 ans, les patients bénéficiant du dépistage ont vu une réduction relative de 16% du risque de cancer de la prostate (28% de réduction du risque relatif entre 55 et 69 ans) et une différence significative en termes de mortalité par cancer de la prostate. concentration en spermatozoïdes, une concentration qui se normalise après traitement par énalapril. Par ailleurs, si le volume testiculaire était également moindre chez le rat hypertendu, cela ne s'est pas traduit par une réduction de la mobilité et de la viabilité des spermatozoïdes. Enfin, la densité volumétrique élevée de l'épithélium séminifère des rats traités laisse supposer un possible effet de l'enalapril sur la spermatogenèse (4). possible en cas de tumeur rénale de plus de 7cm... mais pas sans casse! sur le traitement par néphrectomie partielle de masses rénales de plus de 7 cm (n = 29 sur 466 néphrectomies partielles) qu'a proposée une équipe française (5). Avec un diamètre moyen de 9,2cm, ces tumeurs dont 58,6% étaient de nature cancéreuse et sans marge chirurgicale positive ont été suivies durant 32 mois: 4 patients (23,5%) ont vu une récurrence locale, 4 autres une progression métastatique et 3 (17,6%) sont décédés de leur cancer. Pratiquement, la néphrectomie partielle est réalisable pour ces tumeurs de grand volume, avec une récupération rapide de la fonction rénale (1 mois) mais avec un taux de complication de 31% et un taux élevé de récurrence locale. prostatectomie? érectile après prostatectomie `nerve-sparing'. Ce sont cependant les inhibiteurs de la PDE5, soit en continu (55%), soit à la demande (45%), qui sont prescrits le plus volontiers (chez 88% des cas). L'alternative proposée à 36% des patients est l'injection intracaverneuse. Mais ces prescriptions se font plus `au hasard' que de manière réellement réfléchie (6). |