![]() 5F médicale sur l'utilisation de l'antipaludique méfloquine et neurologiques et psychiatriques. Les effets secondaires neurologiques peuvent inclure des étourdissements, des pertes d'équilibre ou des acouphènes. Les effets secondaires psychiatriques possibles sont l'anxiété, la méfiance, la dépression ou des hallucinations. On parle aussi de rêves étranges, et même d'un risque accru de tendances suicidaires. Un essai clinique a montré que 29% des personnes qui ont pris de la méfloquine ont souffert d'au moins un d'entre eux. Selon la FDA, les effets secondaires de ce médicament continuent à se manifester pendant des mois ou même des années après le traitement! présente des symptômes neurologiques ou psychiatriques, et passer à une alternative. en matière de pharmacovigilance (PRAC Pharmacovigilance Risk Assessment (TEV ou caillots de sang dans les veines) avec les contraceptifs hormonaux combinés (CHCs) et a conclu que les bénéfices des CHCs dans la prévention des grossesses non désirées continuent à l'emporter sur les risques. Sur base de cette réévaluation, les femmes qui utilisent des CHCs sans aucun problème n'ont aucune raison d'arrêter de les prendre. Cette réévaluation confirme que le risque de TEV est faible avec tous les CHCs et elle montre qu'il existe des différences faibles entre les CHCs en fonction du type de progestatif qu'ils contiennent. En outre, elle conforte l'importance d'assurer une bonne information des femmes qui utilisent ces médicaments. Lors de la prescription d'un CHC, les médecins doivent régulièrement évaluer le risque individuel de formation de caillots sanguins chez la femme, étant donné que ce risque change au fil du temps. Les facteurs de risque comprennent entre autres le tabagisme, le surpoids, l'avancement en âge, le fait d'avoir des migraines, les antécédents familiaux de TEV et un accouchement dans les semaines qui précèdent. Les médecins doivent également prendre en considération le risque de TEV par comparaison à d'autres CHCs. en particulier les Etats-Unis, ont à ce mode de dispensation. Outre-Atlantique, le pharmacien reçoit les médicaments en vrac et il prépare de petits flacons contenant le nombre exact de comprimés ou de gélules, sur lesquels il colle une étiquette comportant le nom du malade, celui du médecin, le détail de la prescription, etc. 200 pharmacies volontaires pendant trois ans. |