![]() qui consistent à croire qu'il est normal de manger moins en vieillissant ou qu'il convient de supprimer certains aliments jugés nocifs. A partir de la soixantaine, ces déviations alimentaires ont des répercussions inévitables sur la santé. Insistons!!! L'alimentation des seniors doit rester identique à celle des adultes car les besoins nutritionnels sont les mêmes. Il convient de garder les mêmes rations en respectant l'apport protéique car, avec l'âge, il se produit une perte de la masse maigre musculaire au profit de la masse grasse. de l'état nutritionnel, et le senior doit se peser régulièrement (une fois par semaine en moyenne). Les fluctuations à la baisse constituent un signal d'alarme! L'activité physique est capitale, car elle contribue à améliorer la compo- sition osseuse, les constantes lipidiques, la petite intolérance au glucose qui s'installe avec l'âge, mais aussi la sensation d'équilibre, de bien-être et de qualité de vie. tiples. Elles font intervenir des facteurs physiologiques liés au vieillisse- ment, comme la diminution de l'appétit et des capacités olfactives et gus- tatives, les difficultés gingivo-dentaires, les troubles de la déglutition, les pathologies psychiatriques, le traitement médicamenteux potentiellement anorexigène ou encore un état dépressif. S'y ajoutent souvent des difficul- tés d'autonomie et/ou financières. L'isolement social est aussi un facteur à ne pas oublier. Au final, plusieurs symptômes (perte d'appétit, amaigrisse- ment, diminution de la force musculaire, fatigue physique, récupération de plus en plus mauvaise, oedèmes...) doivent alerter et amener à consulter la dénutrition peut, à terme, retentir sur les fonctions vitales et augmenter la morbidité et le risque de décès. orale est recommandée en première intention. Elle regroupe les conseils nutritionnels, l'aide à la prise alimentaire, l'alimentation enrichie, le plus souvent en collaboration avec une diététicienne. Des modifications s'im- posent dans la composition et le rythme des repas. Les mets énergétiques et riches en protéines sont à privilégier, en enrichissant dans un premier temps l'alimentation avec des produits de base: poudre de lait, lait concen- tré entier, fromage râpé, crème fraîche, beurre fondu, pâtes, semoule... On peut aussi augmenter la fréquence des prises alimentaires. Dans de nom- breux cas, le recours à une complémentation nutritionnelle orale (CNO) est nécessaire. On utilise généralement des produits hyperénergétiques et/ou hyperprotidiques (Clinutren, Fortimel, Fresubin Renutryl...). Il existe une grande variété de saveurs, de présentations et de textures, qu'il faut adapter aux goûts du patient et à la présence d'éventuels troubles de déglutition. Par ailleurs, certains CNO sont plus adaptés à certaines patho- logies. Lors de la délivrance de ces CNO, rappelons quelques conseils pour garantir leur efficacité: - (2 heures avant ou après les repas) et ne doivent pas remplacer les repas; biante pendant deux heures et jusqu'à 24 heures au réfrigérateur. s'installe d'une manière insidieuse. Un état nutritionnel non optimal peut être le point de départ d'une dénutrition plus marquée, voire grave, et difficilement récupérable. Par la proximité avec ses patients, l'équipe officinale peut décrypter les situations à la source de la dénutrition, afin d'en limiter les conséquences. pommettes rougissent et ses gencives sont enflées, l'inflammation provenant de la percée dentaire à travers la muqueuse gingivale. Qui dit inflammation dit aussi douleur. Le bébé pleure de façon brutale, même pendant son sommeil. Une fièvre modérée peut aussi faire partie du tableau. L'éruption dentaire s'accompagne souvent d'une fragilité aux infections. Avec en premier lieu l'émergence de diarrhées acides inflammatoires à l'origine même d'un érythème fessier. Le bébé peut également développer une infection ORL, comme par exemple un rhume. rappeler aux parents de masser les gencives et d'avoir recours aux anneaux de dentition. Il est important de leur préciser qu'il faut les refroidir au réfrigérateur et non au congélateur. Le mé- dicament homéopathique est particulièrement indiqué pour soulager la douleur dentaire des enfants. Le principal avantage du traitement homéopathique pour le bébé et l'enfant est l'absence d'effets indésirables du médicament. Vous pouvez donc conseiller ces traitements en toute sécurité, sans oublier de rappeler au patient qu'il est nécessaire de faire suivre son enfant correctement et régulièrement par un médecin. pathiques Chamomilla, Phytolacca, Rheum officinalis permet de soulager les différents symptômes de la poussée dentaire: douleur, fièvre, pleurs... doses à intervalle régulier, jusqu'à amélioration des symptômes. Ces médicaments peuvent être délivrés quel que soit l'âge de l'enfant. Si les symptômes persistent au-delà de 3 jours, l'enfant sera référé auprès d'un professionnel de santé, afin de vérifier qu'ils relèvent bien d'une poussée dentaire. - tation: laits spéciaux, carottes, pommes, bananes...; loppement de rhinopharyngites; mieux, le prévenir en appliquant une pom- made apaisante, comme par exemple la pommade au Calendula. trois et trente mois. C'est un processus physiologique normal pendant lequel la dent progresse jusqu'à percer la muqueuse de la gencive qui l'emprisonne. Chez plus de deux enfants sur 3, cette étape de la vie de l'enfant occasionne un épisode douloureux, qui peut durer 8 jours. Quels conseils peut-on donner pour soulager les différents symptômes de la percée dentaire? (diarrhée, rhinopharyngite...) - Se frotter les gencives, pousser sur - Augmentation de la température |