![]() hyposignal T2 et flair) en IRM (2). La nor- malisation de la glycémie n'a permis la régression des signes cliniques que chez 3 patients. Le second poster était signé par M. De- Verdal et al. (Montpellier) et comportait l'analyse par Datscan ans en moyenne, de blépharospasme sans signe parkinsonien associé. Dans 55% des cas, on retrouve un dysfonc- tionnement dopaminergique présynap- tique, de manière identique que le blé- pharospasme soit isolé ou associé à une apraxie d'ouverture des paupières. Dès lors, ces symptômes pourraient être des signes moteurs précurseurs d'un syndrome parkinsonien dopasensible (3). française contre l'Épilepsie récidive épileptique épidémiologiques de ces facteurs de risque de récidive. Plusieurs arguments plaident en faveur d'une tentative d'arrêt d'un traitement an- tiépileptique. D'une part, la maladie épi- leptique peut être considérée comme «curable», car 60 à 70% des cas sont bien contrôlés et en rémission «terminale» au bout de 20 ans d'évolution, d'autant plus que le nombre de crises diminue avec le temps (4-6). Autre argument, et non des moindres, plaidant en faveur d'un arrêt du traitement: les effets secondaires cognitivo- comportementaux des antiépileptiques. Les interactions avec les médications pres- crites en fonction de la comorbidité, qui enfin, le poids financier ne font qu'aug- menter avec, notamment, l'apparition des nouveaux antiépileptiques. Enfin et sur- tout, Jacoby (7) a démontré les bénéfices psychologiques pour les patients de l'ar- rêt, réussi bien sûr, du traitement anti- épileptique. arrêter un traitement antiépilep- tique que si le patient est libre de Ce critère est validé chez l'enfant selon la base de données Cochrane (8), à la présentation de son poster. crire des antiépileptiques que de les supprimer.» |