de Marseille a tendance à trop décaper.
Il ne respecte pas l'intégrité des muqueuses.
Dans le choix de votre soin, demandez conseil
ou décryptez les étiquettes... En l'absence
de maladies gynécologiques, des produits
avec un pH se situant autour de la neutralité
peuvent être utilisés sans perturber le pH
physiologique, ni agresser la peau et les
muqueuses. Néanmoins, un pH trop acide
(proche de 4) n'est pas recommandé car il
peut favoriser le développement de mycoses
(champignons).
à proscrire car elle risque de détruire la
flore vaginale protectrice qui constitue le
système de régulation du vagin et, par voie
de conséquence, d'augmenter le risque
d'infection. Or, bon nombre de femmes
croient au contraire qu'elles évitent les
infections et certaines même qu'elles
minimisent le risque de grossesse et de
maladies sexuellement transmissibles
(MST)! En revanche, la zone externe (peau
et muqueuses vulvaires, pli interfessier)
doit faire l'objet d'une toilette quotidienne
adaptée.
passagères peuvent être provoquées par les
frottements avec les serviettes hygiéniques.
Il est donc important de choisir un soin
formulé pour nettoyer en douceur. La période
des règles s'accompagne également d'une
diminution des lactobacilles protecteurs
pouvant provoquer un déséquilibre de la flore
intime. Ainsi, le risque d'infections est plus
élevé. Pour limiter les infections, il existe
diverses solutions dont des probiotiques
capables de rééquilibrer la flore vaginale.
lactobacilles protecteurs peut provoquer
un déséquilibre de la flore intime. Ainsi,
le risque d'infections est plus élevé.
Des tampons périodiques Florgynal
lactobacillus contribuent au maintien de
l'équilibre de la flore vaginale pendant
les règles, à raison de trois tampons par
jour au minimum pendant trois jours. Par
la présence de souches de probiotiques,
ces tampons restaurent la flore naturelle
et améliorent les défenses naturelles
contre les infections urogénitales
(démangeaisons, sensations de brûlure,
odeurs désagréables...). Ils remplacent
les tampons périodiques habituels.
d'oestrogènes et au vieillissement normal (atrophie relative) des tissus.
Il faut donc utiliser un produit d'hygiène adoucissant, hydratant et non
desséchant pour aider à réduire cet inconfort. En complément, il est
conseillé d'appliquer une crème qui apaise et préserve l'hydratation des
muqueuses externes, prolongeant ainsi l'action des soins lavants.
La
Le stress et la fatigue peuvent également modifier la flore vaginale en
influant sur les sécrétions hormonales.
Autres causes de déséquilibre: un traitement antibiotique ou aux corticoïdes
et une hygiène intime inappropriée, c'est-à-dire le plus souvent excessive.
l'épilation intégrale est plus hygiénique, il est
prouvé que l'épilation intégrale augmente le
risque d'avoir des troubles vulvo-vaginaux.
En effet, les poils ont un rôle protecteur sur
la zone intime. En cas d'épilation, la peau
devient moins protégée contre les
agressions, comme les frottements, et est
donc facilement irritable. La muqueuse
devient aussi plus sensible et moins protégée
contre les mycoses et autres infections.
En cas d'épilation de la zone intime, il est
donc recommandé d'utiliser une crème
apaisante au quotidien pour limiter les
irritations. Autre point important: il est
conseillé de porter des sous-vêtements en
coton et de limiter le port de pantalons trop
serrés afin de réduire les frottements.
aussi à faire des ravages chez
démangeaisons, fendillements, gerçures,
points rouges (signes que les vaisseaux
sous la peau sont congestionnés)...
Et ce, tout particulièrement chez les
sportifs qui se douchent 2 ou 3 fois
par jour et les nageurs qui cumulent
eau chlorée et savonnages vigoureux.
Prudence aussi avec les huiles de
massage, très en vogue. Utilisez un savon
doux pour les enlever, sinon gare aux
brûlures et aux allergies sur le pénis.